Last Event Review

Si vous étiez présent | Had You Been There

Samira Kazemi 2024

Samira KazemiLes régistraires | Registrars – ISO 27001, CMMC, & AI

Par Samira Kazemi, Responsable des programmes, ASQ CQA  (English Text follows)

Bonjour à tous, voici une revue de cette très intéressante soirée du 29 mai 2024 organisée par Sam Weissfelner à l’Hôtel Novotel, Aéroport de Montréal. Nos conférenciers étaient Maryana GLAVAN de ABS Global et Tim RYAN, V-P des Ventes chez SGS North America.

Hello everyone, here’s a review of this very interesting evening of May 29, 2024 organized by Sam Weissfelner at the Novotel Hotel, Montreal Airport. Our speakers were Maryana GLAVAN of ABS Global and Tim RYAN, V-P Sales at SGS North America.


Raymond DyerPar Raymond E. Dyer (Ray), Vice-président Section Montréal, ASQ Senior, CMQ/OE, & CQA

Le 29 mai dernier, l’ASQ Montréal a organisé une superbe Nuit des registraires avec les présentateurs Maryana GLAVAN d’ABS Canada et Tim RYAN de SGS North America. Il s’agissait d’un événement en personne, auquel il est agréable de se rendre de temps en temps pour rencontrer d’autres praticiens de la qualité, profiter d’un bon repas et de la camaraderie, mais surtout pour apprendre.

Maryana nous a fait une présentation sur la cybersécurité (CMMC – Cyber Security Model Certification) et sur le fait qu’il s’agit d’une préoccupation croissante pour les entreprises impliquées dans la chaîne d’approvisionnement des organisations qui fournissent les agences gouvernementales américaines. Les organisations devront démontrer leurs contrôles et pratiques en matière de cybersécurité. Les personnes intéressées par la participation du Canada dans ce domaine peuvent effectuer une recherche sur CP-CSC, par exemple: https://www.ccc.ca/fr/annonces/programme-de-certification-en-cybersecurite-du-canada/ et aussi: https://www.tpsgc-pwgsc.gc.ca/esc-src/pccc-cpcsc-fra.html.

Tim, lui, nous a présenté la Gouvernance de l’intelligence artificielle (IA) et la norme ISO/IEC 42001 relative au système de gestion de l’intelligence artificielle (AIMS) qui est en train d’entrer en vigueur. Il était intéressant de voir que cette norme était utile à la fois pour les organisations qui utilisent l’IA en interne pour leurs processus et pour celles qui l’intègrent dans leur offre de solutions. SGS a joué un rôle de chef de file en reconnaissant les organisations ayant des AIMS significatifs.

Dans les deux cas, Maryana et Tim ont suggéré que les professionnels de la qualité ayant une solide expérience de la norme ISO 27001 pourraient tirer parti de cette expérience pour entrer dans le marché ouvert des opportunités que ces réglementations/normes apporteront. Je commence à être un peu vieux pour cela, mais j’ai déjà suggéré à un consultant proche d’explorer cette voie. C’est le genre de valeur que l’on obtient si l’on avait été là.

Merci à Sam Weissfelner d’avoir invité ces excellents orateurs!

Pour ceux qui ont manqué cet événement, j’espère vous voir et vous rencontrer la prochaine fois, Samira.

Maryana GLAVAN & Tim RYAN

 
On May 29th, we had an awesome “Night of Registrars” event with presenters Maryana GLAVAN of ABS Canada and Tim RYAN from SGS North America. It was an in-person event, which is nice to go to from time to time so as to meet fellow Quality practitioners in person, enjoy good food and camaraderie, and especially learn.

Maryana presented on Cyber Security (CMMC – Cyber Security Model Certification) and the fact that it will be a growing concern for companies involved in the supply chain of organizations supplying US government agencies. Organizations will be challenged to demonstrate their cyber security controls and practices. Those interested in Canada’s involvement should search on CP-CSC, e.g. https://www.ccc.ca/en/announcements/government-of-canada-program-for-cyber-security-certification/ and also: https://www.tpsgc-pwgsc.gc.ca/esc-src/pccc-cpcsc-eng.html.

Tim presented on Artificial Intelligence (AI) Governance and the ISO/IEC 42001 Artificial Intelligence Management System (AIMS) standard that is taking effect. It was interesting to see that this standard was of value to both organizations using AI internally for their processes as for those integrating it as part of the solutions offering. SGS have taken a leadership role in recognizing organizations with significant AIMSs.

In both cases, Maryana and Tim suggested Quality professionals with a solid ISO 27001 background could leverage this experience to enter the opening market of opportunities that these regulations/standards will bring. I’m getting a little old for this, but I’ve already suggested a close consultant that he explore this. This is the kind of value you get had you been there.

Thank you Sam Weissfelner for inviting these excellent speakers!

To those who missed this event, I hope to see and connect with you next time, Samira.

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Si vous étiez présent | Had You Been There (2024-04-24)

Samira Kazemi 2024

Samira KazemiL’IA, l’humain et la chaîne de production
(AI, Humans and the Production Chain)

Par Samira Kazemi, Responsable des programmes, ASQ CQA  (English Text follows)

Bonjour à tous, je vous présente la revue de cette très intéressante soirée offerte par ASQ Montréal ce 24 avril 2024 sur L‘IA, l’humain et la chaine de production. Elle a été préparé par Jean-Pierre Amiel, notre Responsable web. Notre conférencier était Jean Massardi, PhD, chef de la recherche en IA chez Neuligent. Il a cumulé plus de 10 ans d’expériences en IA et en accompagnement des PME dans la réalisation de projet de d’intégration en IA.


JP AmielJean-Pierre Amiel, Responsable web, ASQ CQA

Jean Massardi 2024Jean Massardi, PhD nous a entretenu du grand sujet de l’heure l’Intelligence Artificielle (IA) du moins, on le pensait, jusqu’à ce qu’il nous explique que cette “révolution” existe depuis plus de 70 ans et qu’il y a déjà eu plusieurs périodes d’évolution, dont la plus récente a débuté en 2012 avec Deep Blue. 🤔 Pour moi, les grands thèmes à retenir de cette présentation sont:

  • Il n’y a pas encore de définition universelle de l’IA mais elle peut se résumer sur trois concepts: le jugement, le raisonnement et la compréhension.
  • L’interface est surtout connu de nos jours pour son illusion de la compréhension – en réalité plutôt une application de complétion de phrases, ou l’IA a été entrainée à rapidement anticiper le prochain mot d’une phrase à partir d’une énorme banque de mots (données) et des probabilités quant à la logique que celui-ci complète correctement la pensée émise. Il y a plusieurs compagnies qui ont des applications, les plus connus sont Chat GPT, Mistral AI et Copilot.
  • On peut mathématiquement traduire un réseau de neurones pour en faire une Intelligence Artificielle.
    Reseau de neuronesC’est à partir de quatre cas que Jean nous a ensuite expliqué les risques associés au partage d’information, la grande force du système quant à l’analyse d’optimisation et l’assistance possible dans des applications commerciales et industrielles. L’IA est très forte dans l’application d’outils – accélérer des tâches d’évaluation, de tri et de remplacement.
  • Dans les projets d’implantation, le gros du travail est sa mise en place. Ce processus est similaire aux autres projets mais c’est la phase maintenance qui requiert le plus d’efforts.
  • Il conçoit que dans la chaine de production, l’IA peut se voir soit comme outil pour aider à la réalisation des tâches ou soit comme agent autonome qui performe des tâches. Naturellement, ceci a mené à des discussions sur le remplacement de l’humain dans certaines tâches. Selon lui, les tâches les plus à risques sont les métiers de services où le traitement de données et d’informations peuvent être traitées plus rapidement par les neurones artificiels de l’IA. Aussi, selon lui, l’IA aurait beaucoup de difficultés à jouer au Monopoly© car, négocier des ententes avec d’autres joueurs, n’est pas son “forte“.

Ouf! Beaucoup d’informations.

📌Veronica B. Marquez , notre présidente, a aussi eu l’occasion d’interviewer Jean Massardi. Visitez son Pod Cast Excellence 5.0 – L’IA au Service de l’Excellence: Décryptage en Profondeur. Quant au futur, la spécialité de Jean étant l’implantation de système IA, Veronica à proposée de le faire revenir pour discuter de cela.

Pour ceux qui ont manqué cet événement, j’espère vous voir et vous rencontrer la prochaine fois. Samira.


Another interesting evening offered by ASQ Montreal on April 24, 2024, when Jean Massardi, PhD, head of AI research at Neuligent. He has more than 10 years of experience in AI and in supporting SMEs in the realization of AI integration projects. He spoke to us about the hot topic of the moment – Artificial Intelligence (AI). At least so we thought, until he explained that it’s been around for over 70 years and that there have already been several periods of evolution, the most recent of which began in 2012 with Deep Blue.🤔 For me, the major themes to take away from this presentation are:

  • There is as yet no universal definition of AI, but it can be summed up in three concepts: judgment, reasoning and understanding.
  • The interface is best known these days for its illusion of comprehension – in reality more of a sentence completion application, where the AI has been trained to quickly anticipate the next word in a sentence from a huge bank of words (data) and probabilities as to the logic of it correctly completing the emitted thought. There are several companies with applications, the best known being Chat GPT, Mistral AI and Copilot.
  • A neural network can be mathematically translated into Artificial Intelligence. Based on four case studies, Jean went on to explain the risks associated with information sharing, the system’s great strength in optimization analysis, and the support it can provide in commercial and industrial applications. AI is very strong in the application of tools – accelerating evaluation, sorting and replacement tasks.
  • In implementation projects, the bulk of the work is in setting up the system. This process is similar to other projects, but it’s the maintenance phase that requires the most effort.
  • He realizes that, in the production chain, AI can be seen either as a tool to help carry out tasks, or as an autonomous agent that performs tasks. Which has naturally led to discussions about replacing humans in certain tasks. In his view, the tasks most at risk are service jobs, where data and information processing can be handled more quickly by AI’s artificial neurons. Also, according to him, AI would have great difficulty playing Monopoly©, as negotiating agreements with other players is not its “forte“.

Wow! A lot of information.

📌Veronica B. Marquez , our section chair, also had the opportunity to interview Jean Massardi. You are invited to see her Pod Cast Excellence 5.0 – L’IA au Service de l’Excellence : Décryptage en Profondeur. As for the future, Jean’s specialty is AI system implementation, so Veronica offered to bring him back to discuss this.

To those who missed this event, I hope to see and connect with you next time. Samira.

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Si vous étiez présent | Had You Been There (2024.04.03)

JP Amiel

JP AmielÉvolution de la norme ISO 10012 Système de management des mesures
(Evolution of ISO 10012 Measurement management system)

Par Jean-Pierre Amiel, Responsable internet, ASQ CQA  (English Text follows)

C’est avec un immense plaisir que ce 3 avril 2024, notre vice-président de la section, Raymond Dyer, à reçu en direct, Christophe Dubois (en France) et Yoann Donat, (à Granby, Québec) de la compagnie Deltamu.

Christophe s’est spécialisé dans la formation et l’accompagnement des industriels et passionné par les possibilités d’une métrologie correctement réalisée et curieux de l’évolution de la science de la mesure dans l’Industrie du Futur. Il est un membre actif du CFM (Collège Français de Métrologie) et surtout, de la commission AFNOR X07b METROLOGIE, ou il est représentant au groupe de travail WG27 ISO sur la révision de l’ISO 10012. Le comité a envoyée sa version finale à tous les membres pour validation.

Yoann Donat nous à d’abord dressé un bref portrait de Deltamu, créée il y a plus de vingt ans et implantée au Québec depuis 2022.

Ensuite, Christophe Dubois 2024en introduction, Christophe nous a présenté son constat quant à ces 15 années d’expérience en tant que consultant dans le domaine du test dans l’industrie: Bien que la mesure est un réel besoin industriel, la métrologie opérationnelle est souvent restreinte à la gestion de parc d’instruments et que le processus de mesure n’est pas toujours maîtrisée. Il s’avère que l’on passerais plus de temps à concevoir un produit et presque rien sur la validation de tolérances non fonctionnelles, mal définies et trop restreintes pour pallier les non-conformités. En conséquence: On ne voit pas réellement les problèmes car les mesures sont inadaptées et on fait de la sur-qualité; les incertitudes, notion fondamentale de la mesure, ne sont pas prise en compte.

ISO 10012 Chapters-2024

Christophe nous a ensuite dressé un portrait des différences et complémentarités entre les normes ISO/IEC 17025 Laboratoires d’étalonnages et d’essais et ISO 10012:2003 Systèmes de management de la mesure. La première permet aux laboratoires de démontrer leur compétence et leur capacité à produire des résultats valides (le comment), renforçant ainsi la confiance qui leur est accordée au niveau national et partout dans le monde, alors que la seconde est destinée à fournir des exigences génériques et des guides d’application pour le management des processus de mesure et pour la confirmation des équipements de mesure utilisés pour démontrer la conformité aux exigences métrologiques (le pourquoi).

Le gros des activités du groupe de travail sur la révision de l’ISO 10012 a été de la moderniser, de la rendre ‘auditable’ et d’organiser sa structure selon la structure harmonisé (HS, Harmonized Structure) typique des autres normes ISO selon un corpus commun de termes et de définitions. Ensuite, il nous a fait visiter les différents chapitres du contenu afin d’expliquer le pourquoi et ce que la norme permettra aux entreprises de réaliser.

Ouf! Une heure ce n’était pas assez. Raymond à proposer de faire revenir Christophe pour une plus longue présentation sur ce sujet, certainement après janvier 2025, date à laquelle il est prévu que la norme sera publiée.

Pour ceux qui ont manqué cet événement, j’espère vous voir et vous rencontrer la prochaine fois.


On April 3, 2024, it was with great pleasure that our Section Vice-chair, Raymond Dyer, welcomed Christophe Dubois (in France) and Yoann Donat (in Granby, Quebec) of Deltamu.

Christophe Dubois specializes in training and support for manufacturers, and is passionate about the possibilities of correctly performed metrology, and curious about the evolution of measurement science in the Industry of the Future. He is an active member of the CFM (Collège Français de Métrologie) and, above all, of the AFNOR X07b METROLOGIE commission, where he is a representative on the WG27 ISO working group on the revision of ISO 10012. The committee sent its final version to all members for validation.

ISO 10012 Chapters PDCA 2024Yoann Donat drew us a brief portrait of Deltamu, created over twenty years ago and established in Quebec since 2022.

By way of introduction, Christophe then shared with us his observations based on 15 years’ experience as a consultant in the field of industrial testing: Although measurement is a real industrial need, operational metrology is often restricted to instrument management, and the measurement process is not always mastered. It turns out that we spend more time designing a product and almost nothing on validating tolerances that are non-functional, ill-defined and too restricted to compensate for non-conformities. As a result, you don’t really see the problems, because the measurements are inadequate, and you over-qualify; uncertainties, a fundamental notion in measurement, are not taken into account.

Christophe then outlined the differences and complementarities between ISO/IEC 17025 Calibration and testing laboratories and ISO 10012:2003 Measurement management systems. The former enables laboratories to demonstrate their competence and ability to produce valid results (the how), thus reinforcing the confidence placed in them nationally and worldwide, while the latter is intended to provide generic requirements and application guides for the management of measurement processes and for the confirmation of measurement equipment used to demonstrate conformity to metrological requirements (the why).

The main activities of the ISO 10012 revision working group were to modernize the standard, make it “auditable” and organize its structure according to the Harmonized Structure (HS) typical of other ISO standards, based on a common corpus of terms and definitions. He then took us on a tour of the various content chapters to explain why and what the standard will enable companies to achieve.

Whew! One hour wasn’t enough. Raymond suggested that we bring Christophe back for a longer presentation on this subject, certainly after January 2025, when the standard is due to be published.

To those who missed this event, I hope to see and connect with you next time.


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Si vous étiez présent | Had You Been There (2024.03.24)

Raymond Dyer 2020

Raymond DyerASQ Montréal en visite au Digifab QG
Présentation et visite sur place

Par Raymond E. Dyer (Ray), Vice-président Section Montréal, ASQ Senior, CMQ/OE, & CQA (An English text follows)

Le mercredi 20 mars 2024, un petit groupe de professionnels (dix membres de l’ASQ et trois personnes intéressées) a participé à une visite en personne des locaux de Digifab QG à Longueuil. Nous avons vu diverses technologies en exposition, observé des robots en action et partagé un grand moment d’apprentissage en excellente compagnie!

Ce qui m’a vraiment frappé, c’est que Digifab offre aux entreprises de réelles opportunités de se familiariser avec un large éventail de technologies et d’expérimenter des solutions avant de s’engager et d’investir. Grâce aux technologies disponibles au centre et à leur suivi de l’évolution de ces technologies, Digifab s’efforce d’aider ses clients à trouver les meilleurs fournisseurs pour répondre à leurs besoins.

Les experts en transformation numérique de Digifab viennent de divers horizons de la fabrication et sont très bien placés pour soutenir stratégiquement les clients, souvent des petites ou moyennes entreprises, à chaque étape de leur transformation. Il était étonnant de voir certaines des options technologiques qui pourraient être explorées et d’entendre parler de certains cas d’utilisation.

Ce fut une occasion d’apprentissage passionnante qui m’a presque fait regretter de ne pas être l’une de ces entreprises qui bénéficient de la vision et de l’expertise de Digifab. Merci à Rémi Taurines, Luka Pérusse et Catherine Laganiere pour votre accueil chaleureux.

Digifab QG Visite 20240320

Photos V Marquez


On Wednesday, March 20, 2024, a small group of professionals (ten ASQ members and three interested parties) attended an in-person tour of the Digifab QG premises in Longueuil. We saw various technologies on display, watched robots in action, and shared a great moment of learning in excellent company!

What really struck me was how Digifab provided real opportunities for companies to familiarize themselves with a wide range of technologies, and to experiment with solutions before making a commitment and investing. Thanks to the technologies available at the center and their monitoring of the progress of these technologies, Digifab try to ensure they help customers find the best suppliers to meet their business needs.

Digifab’s digital transformation experts come from various manufacturing backgrounds, and are very well positioned to support customers, often small or medium sized enterprises, strategically at every stage of their transformation. It was amazing to see some of the technological options that could be explored and hear about some use cases.

It was an exciting learning opportunity and almost made me wish I could be one of these companies improving from Digifab’s insight and expertise. Thank you Rémi Taurines, Luka Pérusse and Catherine Laganiere for your warm welcome.


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Si vous étiez présent | Had You Been There (2024.02.28)

Samira Kazemi 2024

Samira KazemiAmélioration continue: quoi de nouveau sous le soleil?
Continuous improvement: What’s new under the sun?

By Samira Kazemi, Program Chair, ASQ CQA  (Un texte en français suit)

On February 28th, ASQ Montreal Section held a bilingual event which turned out to be a true success thanks to our great guest speakers, Jean-François Michaud and Samuel Bassetto, who presented two very interesting topics, one in English and the other in French: A Career in the “Modern Times” of Quality by Jean-François Michaud and Les neurosciences de l’amélioration continue by Samuel Bassetto.

Jean-François Michaud, MBA, Ing., retired from IBM and lecturer at École Polytechnique and John Abbott College, took us to through the modern Quality revolution from the 80’ and 90’s to what it is today. He shared his journey as a Quality professional over the last 4 decades. It is true: you become smarter faster when you try to learn from experienced people. Jean-Francois’ experience was absolutely impressive and quite interesting. The take away from his presentation for me was to always keep an open mind and find a positive opportunity in EVERY situation! As a presenter, he was authentic and welcomed any question during his presentation. 

In the second presentation, Samuel Bassetto, Professeur agréé, École Polytechnique de Montréal, introduced us to the neuroscience of continuous improvement. Who would have ever thought of connecting Human Physiology and Quality? Samuel did! He presented a very interesting and science based subject with examples on human response to environment. In his presentation, he highlighted the importance of culture of trust, empowerment and attention to human’s inner rhythm in organizations, in order to be more efficient and operationalizing continuous improvement. This was a powerful presentation with a lot to reflect on.

The presentations were closed by responding to questions in both English and French, which was appreciated by all participants.

This was a truly successful event with an overall satisfaction of over 95% according to the final survey. The speakers were well prepared and generously offered their time to come and share their experience and knowledge on the topics through friendly and interactive presentations.

To those who missed this event, I hope to see and connect with you next time. These events are for you. Come and meet new people, connect, network, learn and have fun!

Samira Kazemi


J-F Michaud & S Bass 2024

Le 28 février dernier, la section montréalaise de l’ASQ a tenu un événement bilingue qui s’est avéré un véritable succès grâce à nos deux conférenciers invités, Jean-François Michaud et Samuel Bassetto, qui ont présenté deux sujets très intéressants, l’un en anglais et l’autre en français: Une carrière dans les “temps modernes” de la qualité par Jean-François Michaud et Les neurosciences de l’amélioration continue par Samuel Bassetto.

Jean-François Michaud, MBA, ingénieur, retraité d’IBM et conférencier à l’École Polytechnique et au John Abbott College, nous a fait découvrir la révolution moderne de la qualité des années 80 et 90 à ce qu’elle est aujourd’hui. Il nous a fait part de son parcours en tant que professionnel de la qualité au cours des quatre dernières décennies. Il est vrai que l’on devient plus intelligent et plus rapide lorsqu’on essaie d’apprendre de personnes expérimentées. L’expérience de Jean-François était absolument impressionnante et très intéressante. Ce que j’ai retenu de sa présentation, c’est qu’il faut toujours garder l’esprit ouvert et trouver une opportunité positive dans CHAQUE situation! En tant que présentateur, il a fait preuve d’authenticité et s’est montré ouvert à toutes les questions pendant sa présentation.

Dans la deuxième présentation, Samuel Bassetto, professeur agréé à l’École polytechnique de Montréal, nous a fait découvrir les neurosciences de l’amélioration continue. Qui avait déjà pensé à faire le lien entre la physiologie humaine et la qualité? Samuel l’a fait! Il a présenté un sujet très intéressant, basé sur la science, avec des exemples sur la réponse humaine à l’environnement. Dans sa présentation, il a souligné l’importance d’une culture de la confiance, de la responsabilisation et de l’attention portée au rythme interne de l’homme dans les organisations afin d’être plus efficace et d’opérationnaliser l’amélioration continue. Cette présentation a été très convaincante et a suscité de nombreuses réflexions.

Les présentations ont été clôturées par des réponses aux questions en anglais et en français, ce qui a été apprécié par tous les participants.

Cet événement a été un véritable succès, avec une satisfaction globale de plus de 95% selon l’enquête finale. Les orateurs étaient bien préparés et ont généreusement offert leur temps pour venir partager leur expérience et leurs connaissances sur les sujets abordés, dans le cadre de présentations conviviales et interactives.

Pour ceux qui ont manqué cet événement, j’espère vous voir et vous rencontrer la prochaine fois. Ces événements sont pour vous. Venez rencontrer de nouvelles personnes, nouer des liens, travailler en réseau, apprendre et vous amuser!

Samira Kazemi

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Si vous étiez présent | Had You Been There (2024.01.31)

Quality Quest: Unleashing Potential
Quête En Qualité: Libérer Le Potentiel

By Samira Kazemi, Program Chair, ASQ CQA  (Un texte en français suit)

On January 31st, Raymond Dyer, our Section Vice Chair and Membership Chair animated a virtual workshop on an interesting topic: “A Quality Quest: Unleashing Potential”.

Already impressive; not easy to run a “virtual” workshop unless you are Ray!

Raymond Dyer

He started with a warm and welcoming networking session where participants had a chance to meet and say hello and discuss the temperature and time of their day, as the workshop had attendants from east to west and north to south. From Alberta’s Rockies to California’s beaches, we had different Zoom video backgrounds during this interactive virtual event. It was a true pleasure to meet new Quality professionals from different industries, and to say hello to the ones I had met from the previous ASQ Montreal Section events. This growing Quality network of mine is one of the many benefits I gain by just being a member of Montreal ASQ section. I will leave how great it is to be part of the Section’s Leadership Team for a different post as it needs its own pages.

After the networking session, the presentation started by an introduction to “who our quality professionals are”, “what environment are they facing” and followed by a discussion on “what they need to succeed”. This triggered (loud) thinking and interesting exchanges.

After successfully engaging everyone’s brain with the topic, the workshop participants were led into break-out rooms where we were to brainstorm on three questions:

  • What important challenges is the Quality professional facing in this ever-changing environment?
  • What they must do to continue to develop?
  • What value ASQ can bring to its members in this “Quality Quest”?

It is incredible how much you can learn from a 30-minute exercise: from timekeeping and using technology as simple as copy pasting from your meeting notes to the event’s chatroom in the virtual world, to what your Quality colleagues have to share from their perspective on the exercise questions.

ASQ brings a lot of value to its members in many ways: networking, mentorship, developing skills, certification and fun, to name a few: we all agreed on that during the workshop. It was a truly excellent workshop with very interesting exchanges in a very interactive way! The workshop concluded on very positive feedback from the participants with over an overall 97% satisfaction rate. A week after the workshop, the slow thinking on the topics continues.

To my Quality colleagues — Had you been there, you would have had fun! Hope to see you all in the next ones! We raise ourselves by lifting others. That’s what ASQ Montreal Section offers you. I am one true evidence of that.

Samira Kazemi


Le 31 janvier dernier, Raymond Dyer, vice-président de notre section et responsable des membres, a animé un atelier virtuel sur un sujet intéressant: “Une quête de qualité: Libérer le potentiel“.

Déjà impressionnant; il n’est pas facile d’organiser un atelier “virtuel” à moins d’être Ray!

Il a commencé par une séance de réseautage chaleureuse et accueillante au cours de laquelle les participants ont eu l’occasion de se rencontrer, de se dire bonjour et de discuter de la température et de l’heure de leur journée, car l’atelier réunissait des participants de l’est à l’ouest et du nord au sud. Des Rocheuses de l’Alberta aux plages de Californie, nous avons eu droit à différents arrière-plans vidéo Zoom au cours de cet événement virtuel interactif. Ce fut un réel plaisir de rencontrer de nouveaux professionnels de la qualité de différentes industries et de saluer ceux que j’avais rencontrés lors des événements précédents de la section montréalaise de l’ASQ. Ce réseau de qualité en pleine expansion est l’un des nombreux avantages dont je profite du simple fait d’être membre de la section montréalaise de l’ASQ. Je ne parlerai pas de l’importance de faire partie de l’équipe de direction de la section dans un autre article, car il a besoin de ses propres pages.

Après la séance de réseautage, la présentation a commencé par une introduction sur “qui sont nos professionnels de la qualité”, “à quel environnement sont-ils confrontés” et suivie d’une discussion sur “ce dont ils ont besoin pour réussir”. Cela a déclenché une réflexion (bruyante) et des échanges intéressants. Après avoir réussi à mobiliser le cerveau de chacun sur le sujet, les participants se sont répartis en salles de réunion où nous avons réfléchi aux trois questions suivantes:

  • Quels sont les défis importants auxquels les professionnels de la qualité sont confrontés dans cet environnement en constante évolution?
  • Ce qu’ils doivent faire pour continuer à se développer?
  •  Quelle valeur l’ASQ peut-elle apporter à ses membres dans cette “quête de la qualité“?

Il est incroyable de voir tout ce que l’on peut apprendre au cours d’un exercice de 30 minutes, qu’il s’agisse de la gestion du temps, de l’utilisation d’une technologie aussi simple que de copier-coller des notes de réunion vers le “chatroom” de l’événement dans le monde virtuel, ou de ce que vos collègues de la qualité ont à partager de leur point de vue sur les questions de l’exercice.

L’ASQ apporte beaucoup de valeur à ses membres, et ce de plusieurs façons: réseautage, mentorat, développement des compétences, certification et divertissement ne sont que quelques exemples parmi tant d’autres. Nous sommes tous tombés d’accord sur ce point au cours de l’atelier. C’était vraiment un excellent atelier, avec des échanges très intéressants et très interactifs! L’atelier s’est achevé sur un retour d’information très positif de la part des participants, avec un taux de satisfaction global de plus de 97%. Une semaine après l’atelier, ma réflexion sur les sujets se poursuit.

A mes collègues de la Qualité: si vous aviez été là, vous vous seriez amusés! J’espère vous voir tous dans les prochains! Nous nous élevons en élevant les autres. C’est ce que la section de Montréal de l’ASQ vous offre. J’en suis la preuve.

Samira Kazemi

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Si vous étiez présent | Had You Been there

Raymond Dyer 2020
Francoise Moffette & Pierre Marquis 2023
Francoise Moffette | Pierre Marquis

La responsabilité sociale en entreprise,
par quoi débuter?
(Company social responsibility, where to start?)

Par Raymond E. Dyer (Ray), ASQ Senior Member, CMQ/OE, & CQA  ( English text follows)

Le 22 novembre 2023 dernier, Marlene Hutchinson de EVNIA, nous a présenté un webinaire sur La responsabilité sociale en entreprise, par quoi débuter? Une introduction à ce sujet en lien avec la gestion obligatoire des entreprises quant à l’environnement et à la norme ISO 26000, Responsabilité sociétale. Spontanément, nous avons reçu des commentaires de deux participants que j’ai décidé de vous partager.

Francoise Moffette, B.Sc., MBA, CQA nous a dit:
Une présentation très intéressante offerte par l’ASQ. Madame Marlene Hutchinson nous a partagé son enthousiasme et ce fut très inspirant et rafraichissant de voir qu’il existe encore des gens qui ont la passion, la flamme de croire en un avenir meilleur et surtout l’envie de partager leur connaissance. Elle est stimulante et donne envie de s’impliquer plus en profondeur dans la responsabilité sociale et le développement durable en offrant des trucs et outils facile à implanter dans nos entreprises ou simplement à la maison.

Comme le disait Antoine de Saint-Exupéry: Nous n’héritons pas de la terre de nos parents, nous l’empruntons à nos enfants.” Assurons-nous de laisser un avenir aux générations futures!

Pierre Marquis nous a proposé sa revue du webinaire:
De 18h30 à 19h les participants ont pu réseauter sous la direction de Mme. Chantale Simard (Trésorière de la section de Montréal), et rencontrer une partie de l’équipe de leadership d’ASQ Montréal. L’ASQ offre 18 certifications pour les professionnels de la qualité et promeut son code d’éthique.

Marlène Hutchinson, spécialiste en ECO fiscalité et professeure (bac & maîtrise en environnement) à l’Université de Sherbrooke, s’est présentée comme la fondatrice de Evnia Firme Conseil et lauréate en 2021 du Prix des Femmes d’affaires dans sa catégorie. Ceci dit, elle est entrée dans le sujet: L’objectif de la RSE est de simplifier la gestion obligatoire reliée à l’environnement. Suite à un premier sondage auprès des participants sur la signification du Développement durable (DD), elle nous a partagée la définition: Un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs. Marlène nous a décrit l’historique du DD depuis 1962 avec le livre “Silent Spring“, jusqu’à la publication en 2015 par l’ONU des Objectifs de développement durable – 17 objectifs pour mesurer l’avancement des nations dans des objectifs clés tel que l’élimination de la pauvreté et de la faim, le bien-être, la santé, une éducation de qualité, etc. Une carte du monde interactive sur le site web Sustainable Development Report 2023 (sdgindex.org), ainsi qu’une application du App Store, permet de voir où se situent les pays, et de suivre l’évolution.

Une première activité en sous-groupes nous a permis de définir la RSE à notre façon –  le concept d’écofiscalité; l’éthique et la diversité au travail et chez les fournisseurs; la prévention de la pollution/gaspillage et le respect des travailleurs dans l’extraction de minéraux en Afrique (i.e. ‘Conflict Minerals’); l’élaboration de politiques environnementales (ISO 14001) et la philanthropie, entres autres. Marlène nous a ensuite informé de la nouvelle norme ISO 26000, des lignes directrices sur la responsabilité sociétale: La responsabilité d’une organisation vis-à-vis des impacts de ses décisions et activités sur la société et sur l’environnement, se traduisant par un comportement éthique et transparent qui contribue au développement durable, y compris la santé et au bien-être de la société. Selon elle, la différence entre les critères d’ESG (Environnementaux, Sociaux et Gouvernance) et la RSE, c’est que l’ESG est davantage financier.

Un deuxième sondage auprès des participants sur quel type d’initiative a le plus d’impact sur la responsabilité sociale d’une entreprise, a identifié: des exemples de missions d’entreprises, de gestes philanthropiques et de mesures opérationnelles reliés à la RSE, ainsi que des avantages qui en résultent. Lors d’un second atelier de travail, les participants ont pu échanger sur les mesures opérationnelles (DD/RSE) présentes dans leur entreprises (ou clients pour les consultants): Amélioration de l’efficacité/productivité, choix de fournisseurs locaux vs outre-mer, l’éthique, REACH/RoHS, inclusion, diversité, discrimination, harcèlement, réduction du gaspillage et respect des lois environnementales. Quelques exemples cités : la firme Evnia gère sans papier; la ville de Laval sensibilise ses citoyens à l’Écocitoyenneté, vise à diminuer ses rejets, surveille l’application des règlements et investit dans les pistes cyclables, des entreprises implantent la norme ISO 14001 et certifie leurs produits électroniques aux exigences REACH/RoHS/Minéraux du conflit. Énergir encourage le bénévolat; plusieurs entreprises formalisent le télétravail et d’autres compostent les déchets de cafétéria, etc.

En conclusion, cinq grandes étapes composent un projet RSE:

  • Intégrer le DD dans la planification stratégique;
  • Réaliser un diagnostic DD et établir des objectifs RSE;
  • Adopter une politique et un plan d’action avec responsables;
  • Mesurer le progrès des objectifs;
  • Communiquer et promouvoir.

L’ajout de certifications augmente la crédibilité et l’engagement, par exemple: le Pacte Mondial de l’ONU; ISO 26000, BNQ 2100; le programme ECO Responsable QC; les Certification B Corp et le Global Reporting Initiative (GRI).

Nous avons terminé par un échange de commentaires, entre autres que les cinq étapes se comparent au ‘PDCA’ de Deming et que le sujet est tellement vaste que tous les aspects n’ont pu être couverts en moins de deux heures. Les participants ont été très satisfait de la qualité de la présentation et de son format interactif, mené par Marlène avec enthousiasme et professionnalisme. Ray a ensuite invité des suggestions de sujets pour 2024 et a chaleureusement remercié Mme. Marlène Hutchinson pour sa présentation.

Vous avez raté une bonne opportunité d’apprentissage.


On November 22, we held a French webinar with Marlene Hutchinson of EVNIA on Company social responsibility, where to start? An introduction to this topic in relation to mandatory corporate environmental management and ISO 26000 Corporate Social Responsibility. Spontaneously, we received comments from two participants that I decided to share with you.

Francoise Moffette, B.Sc., MBA, CQA said:
A very interesting presentation offered by the ASQ. Marlene Hutchinson shared her enthusiasm with us, and it was very inspiring and refreshing to see that there are still people who have the passion, the flame to believe in a better future, and above all the desire to share their knowledge. It’s stimulating and makes us want to get more deeply involved in social responsibility and sustainable development by offering tips and tools that are easy to implement in our businesses or simply at home.

As Antoine de Saint-Exupéry said, “We do not inherit the earth from our parents, we borrow it from our children.” Let’s make sure we leave a future for future generations!

Pierre Marquis, on the other hand, offered his review of the webinar:
We started with a networking opportunity guided by Chantale Simard (Montreal Chapter Treasurer), and a greet and meet with some of the ASQ Montreal Section leadership team. ASQ offers 18 certifications for quality professionals and promotes its code of ethics.

Marlène Hutchinson, a specialist in ECO taxation and professor (bachelor’s & master’s degrees in environment) at the Université de Sherbrooke, introduced herself as the founder of Evnia Firme Conseil and the 2021 winner of the Prix des Femmes d’affaires in her category. Having said that, she got to the heart of the matter: The aim of CSR is to simplify mandatory environmental management.

Following an initial survey of participants on the meaning of Sustainable Development (SD), she shared the definition: Development that meets the needs of the present without compromising the ability of future generations to meet their own needs. She then described a brief history of SD from 1962 with the book “Silent Spring“, to the 2015 publication by the UN of the Sustainable Development Goals (SDGs) – 17 goals to measure the progress of nations towards key objectives such as the eradication of poverty and hunger, well-being, health, quality education, etc. An interactive world map on the Sustainable Development Report 2023 (sdgindex.org) web site, as well as an App Store application, make it possible to measure the progress made towards these goals. An initial activity in sub-groups enabled us to define CSR in our own way – the concept of eco-taxation; ethics and diversity in the workplace and among suppliers; prevention of pollution/waste and respect for workers in the extraction of minerals in Africa (i.e. ‘Conflict Minerals’); development of environmental policies (ISO 14001) and philanthropy, among others. Marlène then presented the new ISO 26000 standard, Guidelines on social responsibility: An organization’s responsibility for the impacts of its decisions and activities on society and the environment, reflected in ethical and transparent behavior that contributes to sustainable development, including the health and well-being of society. In her opinion, the difference between ESG (Environmental, Social and Governance) is more financial than CSR.

A second survey on what type of initiative has the greatest impact on a company’s social responsibility, identified: examples of corporate missions, philanthropic gestures and operational measures related to CSR, as well as the resulting benefits. In a second workshop, participants discussed the operational measures (SD/CSR) present in their companies (or customers for consultants): Improving efficiency/productivity, choosing local vs. overseas suppliers, ethics, REACH/RoHS, inclusion, diversity, discrimination, harassment, reducing waste and compliance with environmental laws. A few examples were named: Evnia is a paperless company; the City of Laval promotes Eco-citizenship, aims to reduce waste, monitors bylaw enforcement and invests in bicycle paths; companies are implementing ISO 14001 and certifying their electronic products to REACH/RoHS/ Conflict Minerals requirements. Energir encourages volunteering; several companies formalize telecommuting and others compost cafeteria waste, etc. In conclusion, five main stages of a CSR project were presented:

  • Integrate SD into strategic planning;
  • Carry out an SD diagnosis and establish CSR objectives;
  • Adopt a policy and action plan with managers;
  • Measure progress towards objectives;
  • Communicate and promote.

Also, other certifications increase credibility and commitment, for example: UN Global Compact; ISO 26000, BNQ 2100; ECO Responsable QC program; B Corp Certification and Global Reporting Initiative (GRI).

We ended with an exchange of comments, among other things that the five stages can be compared to Deming’s ‘PDCA’ and that the subject is so vast that not all aspects could be covered in less than two hours. The participants was very pleased with the quality of the presentation and its interactive format led by Marlène with enthusiasm and professionalism. Ray then invited all to identify topics that would be of interest in 2024, then extended warm thanks to Ms. Marlène Hutchinson for her presentation.

You missed a good learning opportunity.

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Had You Connected to the Last Event | Si vous étiez connecté (2023-10-17)

JP Amiel

David TozerASQ Canada Region Webinar | ASQ Région Canada
ASQ Certification – Recertification

(La Certification-Récertification de l’ASQ)

By Jean-Pierre Amiel, ASQ Senior, CQA ret., Web committee chair. (Texte en français suit)

Of all the multiple benefits that the American Society for Quality (ASQ) offers, its most important is certification, a formal recognition that an individual has demonstrated a proficiency within, and comprehension of, a specific body of knowledge. Five of these certification programs achieved ISO 17024 Personnel Certification Documentation Consultancy accreditation by ANSI National Accreditation Board (ANAB). Over 400,000 certifications have been issued to dedicated professionals worldwide.

On October 17, 2023, Dr David Tozer, our Section’s Education and Re-certification Chair was invited by the ASQ Canada Region to explain, in a simple straightforward approach, what 18 ASQ Certifications were available. He explained how ASQ’s Certification Pathways Tool could be used to identify which ASQ Certification was right for you and that another option was to seek advice from the local Section’s Education &/or Certification &/or Recertification Chairs.

Because applying and demonstrating proficiency for certification can be a little complicated, David then gave an overview of the basic requirements and preparation for the exams, the courses and the support that are available. He also went over the typical Experience requirements (Years / Decision Making) and hours of Preparation required for each type of certification.

To show the parallel with the various certifications, David then referenced the typical Career paths in which a quality professional might evolve in his career years, such as: Quality Planning; Risk Management; Fixing Issues; Continuous Improvement; Assessment; Training and reminding and Implementation and the certifications ASQ offers. In closing, he presented how recertification would be maintained: either by obtaining 18 recertification units (RUs) within a three-year recertification period or by retaking the certification exam at the end of that period.

He also suggested to participants that in order to gain an advantage over their competition, they should consider investing in their career by obtaining an ASQ certification. By the way, ASQ online exams and communication with a proctor will be conducted in English only.

PS: The Montreal section offers refresher courses on various ASQ Certifications. You can register for these courses, even if you are not an ASQ member. Company group rates available. Courses are offered from September through to June. Interested? Visit our Education Program page. History has shown refresher courses attendees have more than twice the certification success rate than those who don’t follow courses.

You missed a good presentation.
We look forward to continuing discussions on this and other topics in the future.


ASQ Certifications

Parmi les multiples avantages qu’offre l’American Society for Quality (ASQ), le plus important est la certification, une reconnaissance formelle qu’un individu a démontré sa compétence et sa compréhension d’un ensemble spécifique de connaissances. Cinq de ses programmes de certification ont obtenu l’accréditation ISO 17024 Personnel Certification Documentation Consultancy par l’ANSI National Accreditation Board (ANAB). Plus de 400 000 certifications ont été délivrées à des professionnels dans le monde entier.

Le 17 octobre 2023, le Dr David Tozer, responsable de notre section pour l’éducation et le renouvellement de la certification, a été invité par la région canadienne de l’ASQ à expliquer, d’une manière simple et directe, quelles étaient les 18 certifications ASQ disponibles. Il a expliqué comment le Certification Pathways Tool (l’outil de cheminement vers la certification d’ASQ) pouvait être utilisé pour déterminer quelle certification ASQ vous convenait le mieux et qu’une autre option consistait à demander conseil aux responsable de la section locale chargés de la formation et/ou de la certification et/ou de la recertification.

Comme il peut être un peu compliqué de faire une demande de certification et de démontrer ses compétences, David a ensuite donné un aperçu des exigences de base et de la préparation aux examens, des cours et de l’aide disponible. Il a également passé en revue les exigences typiques en matière d’expérience (années / prise de décision) et les heures de préparation requises pour chaque type de certification.

Pour illustrer le parallèle avec les différentes certifications, David a ensuite fait référence aux parcours professionnels typiques dans lesquels un professionnel de la qualité peut évoluer au cours de sa carrière, tels que: la planification de la qualité, la gestion des risques, la résolution des problèmes, l’amélioration continue, l’évaluation, la formation, le rappel et la mise en œuvre, ainsi que les certifications proposées par l’ASQ. Pour conclure, il a ensuite présenté la manière dont la recertification serait maintenue: soit en obtenant 18 unités de recertification (UR) au cours d’une période de recertification de trois ans, soit en repassant l’examen de certification à la fin de cette période.

Il a également suggéré aux participants d’envisager d’investir dans leur carrière en obtenant une certification ASQ afin d’avoir un avantage sur leurs concurrents. Par ailleurs, les examens en ligne de l’ASQ et la communication avec un surveillant se dérouleront uniquement en anglais.

PS: La section de Montréal offre des cours de mise à jour sur diverses certifications ASQ. Vous pouvez vous inscrire à ces cours, même si vous n’êtes pas membre de l’ASQ. Des tarifs de groupe sont disponibles. Les cours sont offerts de septembre à juin. Intéressé(e)? Visitez notre page Programme d’éducation. L’histoire a montré que les participants aux cours de remise à niveau ont un taux de réussite à la certification plus de deux fois supérieur à celui des personnes qui ne suivent pas de cours.

Vous avez raté une bonne présentation.
Nous nous réjouissons de poursuivre les discussions sur ce sujet et sur d’autres à l’avenir.

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Si vous étiez présent | Had You Been there (2023-10-25)

Raymond Dyer 2020

Raymond Dyer 2020Assemblée générale de l’ASQ Montréal + Atelier de travail 
ASQ Montreal Annual General Assembly + Workshop

Par Raymond E. Dyer (Ray), ASQ Senior Member, CMQ/OE, & CQA  (English text follows)

Le 25 octobre dernier, nous avons tenu notre Assemblée générale annuelle (AG), suivie d’un atelier intitulé “Que peut faire la section de Montréal de l’ASQ pour vous?” Cet événement s’est déroulé en personne au restaurant Les 3 Sœurs à Pointe Claire.

Au cours de l’AG, les progrès réalisés dans le cadre de notre plan d’affaire ont été partagés et les différents membres de l’équipe de direction de la section (EDS) ont présenté leurs rapports. Nous avons accueilli trois nouveaux membres au sein de l’EDS: Carolee Rigsbee, Cesar Camargo et Christine Bergeron. Nous avons également remercié les deux membres de l’EDS que nous perdrons en 2024 pour leur excellent travail: Eric Hosking et Chantale Farley.

Après l’AG, nous avons fait participer les participants à un atelier sur le thème “Que peut faire ASQ Montréal pour vous?”. Nous avons demandé à deux équipes de se répartir sur quatre stations et de répondre aux questions suivantes en écrivant sur des post-its:

  • Comment pouvons-nous faire connaître l’ASQ et sa section de Montréal à un plus grand nombre de personnes?
  • Qu’est-ce qui ajoute le plus de valeur à une adhésion à l’ASQ?
  • Qu’est-ce que la section de Montréal de l’ASQ devrait faire ou faire de plus?
  • Qu’est-ce que la Section de Montréal de l’ASQ pourrait cesser de faire ou faire moins?

À des moments prédéterminés, les équipes se déplaçaient d’une “table thématique” à l’autre pour ajouter leurs commentaires. Nous leur avons ensuite demandé de visiter à nouveau les quatre stations et de voter sur ce qu’ils considéraient comme les deux principales priorités de chaque question. Ce retour d’information a finalement alimenté les discussions prévues par l’EDS sur la baisse du nombre de membres. Plus d’informations à ce sujet dans les prochaines communications.

La soirée a été agréable, la nourriture et le service exceptionnels, et les échanges et le réseautage mémorables. Merci à tous les participants.

Vous avez raté une bonne opportunité d’apprentissage.
Nous nous réjouissons de poursuivre les discussions sur ce sujet et sur d’autres à l’avenir.


On October 25th, we held our Annual General Assembly (GA), followed by a workshop on “What can ASQ Montreal Section do for you?“. This event was held in-person at the 3 Soeurs restaurant in Pointe Claire.

During the GA, progress on our business plan was shared and the various Section Leadership Team (SLT) members presented their reports. We welcomed three new members to the SLT: Carolee Rigsbee, Cesar Camargo, and Christine Bergeron. We also thanked the two SLT members we’ll be losing in 2024 for their excellent work: Eric Hosking and Chantale Farley.

After the GA, we had the attendees participate in a workshop to examine “What can ASQ Montreal Section do for you?”. We had two teams rotate to four stations answering the following questions by writing on post-its:

  • How can we make more people aware of ASQ and its Montreal Section?
  • What adds most value to an ASQ membership?
  • What should ASQ Montreal Section be doing or doing more of?
  • What could ASQ Montreal Section stop doing or do less of?

At predetermined times, the teams moved from one “table theme” to another to add their comments. We then had them repeat their visits to the four stations and vote on what they felt were the top two priorities of each question. This feedback eventually fed into further discussions planned by the SLT regarding our declining membership. More on this in future communications.

The evening was enjoyable, the food and service exceptional, and the exchanges and networking memorable. Thanks to all that participated.

You missed a good learning opportunity.
We look forward to continuing discussions on this and other topics in the future.

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Had You Been Connected | Si vous étiez connecté

JP Amiel

By Jean-Pierre Amiel, ASQ Senior, CQA ret., Secrétaire (Texte en français suit)

What a change of pace for those present.

This past September 27th, 2023, Avrum Goldman shared with us a simple message on his life’s work to date which I would summarize as: Life is a tree with many branches where sometimes you get to choose which sprout to follow and sometimes you’re just ‘up a tree’ and you must deal with it.

It may not sound very philosophical, but what would you learn from someone who has spent 38 years in one company, has worked with or led teams in just about all the company’s product lines, as well as in different capacities and under various situations: flexibility, capability and continuous learning.

It all started after Avrum was hired for his first job just out of university. The day he showed up for work, his ‘new boss’ told him he didn’t have any work for him and then went door to door to see what he could find him to do. If that’s not an indication that you are headed for something different . . .  and so it went, as he described the evolution of his career and his discovery of the ‘quality’ field – brought about by his methodical approach to resolve situations and led by his background in Engineering – a complementary duality of interactions of the disciplines.

Avrum worked at Pratt & Whitney Canada in six major fields (blue) and held over 17 job functions/product lines (bubbles). Some were attributed, some for which he aimed and postulated for and even others that were handed to him because of his aptitudes at problem solving (right time-right place). He illustrated this evolution with a tall and leafy oak tree with red and blue arrows, illustrating the not-chosen and his chosen career paths.

He then shared a number of Case Studies to illustrate these various dualities:

  • The complementarity of the aerospace Quality system and Regulatory oversight – QMSP (Quality Management System Procedures) and the SMSP (Safety Management System Procedures);
  • Engineering compliance and Quality conformity;
  • Quality system project leadership (Dedicated team for new/change of state – Legacy team for stable operations);
  • Program sustainability and quality where the process requires support from different disciplines and responsibilities;
  • Human error and Human performance – understanding how the human at the controls expects the equipment to perform;
  • Human factors and Individual responsibility – Planned checklists and Assignable causes.

Finally, Avrum proposed his personal takeaways and recommendations:

  • Your capability: Don’t feel constrained by your current degree/credentials. You have a portfolio of skills and capabilities you can apply in the broadest and most creative way.
  • Your mandate: Don’t feel constrained to your current job description. Define your role to contribute to your organization’s greatest challenges.
  • Lifelong learning and teaching: You can always use more knowledge, invest in yourself! Seek out and leverage all sources of knowledge.
  • Multi-disciplinary approach: Engineering, Quality, Continuous Improvement, Airworthiness, Safety, Reliability, Leadership: All different aspects of the same process.
  • Value-stream approach: Technology development/Process development/Product development/Operations/Customer Support/MRO: All parts of the same process.

To quote Billy of The Family Circus: “The shortest distance between two points may be a straight line, but it’s the least interesting too.” (a cartoon character of the 60’s by Bil and Jeff Keane, Wikipedia)

Indeed an interesting ‘quality’ career.


Quel changement de rythme pour les personnes présentes.

Ce 27 septembre 2023, Avrum Goldman a partagé avec nous un message simple sur l’œuvre de sa vie jusqu’à ce jour, que je résumerais ainsi: La vie est un arbre aux multiples branches, où l’on peut parfois choisir la pousse que l’on veut suivre, et où l’on est parfois tout simplement “dans le bois” et il faut faire avec.

Cela ne semble peut-être pas très philosophique, mais qu’apprendrait-on de quelqu’un qui a passé 38 ans dans une seule entreprise, qui a travaillé avec ou dirigé des équipes dans presque toutes les lignes de produits de l’entreprise, ainsi qu’à différents titres et dans diverses situations – la flexibilité, la capacité et l’apprentissage continu.

Tout a commencé lorsqu’Avrum a été embauché pour son premier emploi, à peine sorti de l’université. Le jour où il s’est présenté au travail, son “nouveau patron” lui a dit qu’il n’avait pas de travail pour lui et a fait du porte-à-porte pour voir ce qu’il pouvait lui trouver à faire. Si ce n’est pas une indication que vous vous dirigez vers quelque chose de différent . . . et c’est ainsi qu’il a décrit l’évolution de sa carrière et sa découverte du domaine de la “qualité”, grâce à son approche méthodique de la résolution des situations et à sa formation d’ingénieur – une dualité complémentaire d’interactions entre les disciplines.

Avrum a travaillé chez Pratt & Whitney Canada dans six domaines principaux (bleu) et a occupé plus de 17 fonctions et lignes de produits (bulles). Certaines lui ont été attribuées, d’autres pour lesquelles il a visé et postulé, et même d’autres qui lui ont été confiées en raison de ses aptitudes à résoudre les problèmes (bon moment, bon endroit). Il a illustré cette évolution par un grand chêne feuillu avec des flèches rouges et bleues, illustrant les parcours professionnels non choisis et choisis.

Il nous a ensuite présenté un certain nombre d’études de cas pour illustrer ces différentes dualités:

  • La complémentarité du système de qualité aérospatial et de la surveillance réglementaire – QMSP (procédures du système de gestion de la qualité) et SMSP (procédures du système de gestion de la sécurité);
  • Conformité de l’ingénierie et conformité de la qualité;
  • La direction du projet de système de qualité (équipe spécialisée pour les nouveaux projets ou les changements d’état – équipe traditionnelle pour les opérations stables);
  • Durabilité et qualité du programme lorsque le processus nécessite le soutien de différentes disciplines et responsabilités;
  • Erreur humaine et performance humaine – comprendre comment l’homme aux commandes s’attend à ce que l’équipement fonctionne;
  • Facteurs humains et responsabilité individuelle – listes de contrôle planifiées et causes assignables.

Et enfin, Avrum nous a présenté ses conclusions et recommandations personnelles:

  • Vos capacités: Ne vous sentez pas limité par vos diplômes/compétences actuels. Vous disposez d’un portefeuille de compétences et de capacités que vous pouvez utiliser de la manière la plus large et la plus créative possible.
  • Votre mandat: Ne vous sentez pas limité à votre description de poste actuelle. Définissez votre rôle pour contribuer à relever les plus grands défis de votre organisation.
  • L’apprentissage et enseignement tout au long de la vie: Vous pouvez toujours utiliser plus de connaissances, investissez dans vous-même! Recherchez et exploitez toutes les sources de connaissances.
  • L’approche pluridisciplinaire: Ingénierie, qualité, amélioration continue, navigabilité, sécurité, fiabilité, leadership: Tous les différents aspects d’un même processus.
  • L’approche par flux de valeur: Développement technologique/développement de processus/développement de produits/opérations/soutien à la clientèle/MRO: Tous les éléments d’un même processus.

Pour citer Billy du Family Circus: “La distance la plus courte entre deux points peut être une ligne droite, mais c’est aussi la moins intéressante.” (personnage de dessin animé des années 60 par Bil and Jeff Keane, Wikipedia)

Une carrière en ‘qualité’ des plus intéressante.


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JP Amiel

Where do Quality professionals work and where else could they work?
Où travaillent les professionnels de la qualité et dans quels autres domaines pourraient-ils travailler?

By Jean-Pierre Amiel, ASQ Senior, CQA ret., Secrétaire (Texte en français suit)

Networking Event 20230614-1
At left Eric Hosking, Membership Chair and Raymond Dyer, Section Chair and in the centre, Chantale Simard, Treasurer    (Photos JP Amiel)

This June 14th, it was good to finally see people in 3D since last October 2022 and some who have not been to our events in a long time. It turns out that since the start of the pandemic, many are going through various phases of difficulties, but still made the effort to show up at this first LIVE event of the year: another is planned for October. We definitely need that human contact (even if I did shock some with my fist bumps, at first).

We all met at the 3 Sœurs, a small intimate eatery in Dollard-des-Ormeaux. Food-wise: I was not disappointed. I congratulated Sam Weissfelner, our Arrangements Chair, and suggested that we should consider more food exceptions next time. Some people did not eat much because of meat dishes. I liked the spicy chicken cutlets (not that spicy), the mac and cheese (even if not smothered in cheese) and the refreshing salads. As for the place, cosy and not so noisy.

After picking our way through the appetizers, our Section Chair Ray Dyer split the room into two groups and had them partake in huddles. Based on the Post-Its recovered, that activity went relatively well and those results are presented below. While he was collating these and then presenting them to the participants, he stated how he could not help but feel very satisfied with the quality of the results delivered by both groups and how comforting it is to appreciate the opportunities out there for Quality professionals.

In conclusion, Quality professionals already work in a great variety of areas and there are even more areas where they could work based on their knowledge, skills, and expertise.

On behalf of Ray and myself, thanks to all those participants that helped make this event a success.

Where do Quality professionals work in? Where else could they work?
• Quality Manager
• Continuous Improvement
• Quality Auditor in Pharma, QMS, GMP
• Teaching
• Leadership teams / C-Suite
• Quality volunteerism
• Project Manager
• Supply Chain
• Supplier performance management
• Distribution (e.g. drug)
• Customer support
• Aerospace industry in QA coordination, DSQR (Designated Supplier Quality Representative) for AS 13000, Internal Auditor, Foundry, Aluminum, Project Manager, Mechanical Designer
• Other industries: Food and supplements; Healthcare; Hema Quebec; Government; Video games
• Industry 4.0 analysis and implementation
• Manufacturing
• Systems
• Sustainability / ESG (Environment – Social – Governance)
• Other industries: Automotive; Pharma; Cosmetic; Banking; Transportation
• Quality of government and services in government
• “Soft” targets, such as HR, Safety, Environmental, Security
• AI (Artificial Intelligence) research
• Quality of society system
• Quality philanthropy

 


Ce 14 juin, il fut enfin bon de voir des personnes en 3D depuis octobre 2022 dernier et certaines qui n’avaient pas participé à des événements depuis longtemps. Il s’avère que depuis le début de la pandémie, beaucoup passent par différentes phases de difficultés mais ont quand même fait l’effort de venir à ce premier événement LIVE de l’année: un autre est prévu en octobre. Nous avons vraiment besoin de ce contact (même si j’en ai choqué certains avec mes coups de poing, au début).

Networking Event 20230614-2Nous nous sommes tous retrouvés aux 3 Sœurs, un petit restaurant intime à Dollard-des-Ormeaux. Côté nourriture, je n’ai pas été déçue. J’ai félicité Sam Weissfelner, notre responsable des arrangements, et j’ai suggéré que nous envisagions plus d’exceptions pour la nourriture la prochaine fois. Certaines personnes n’ont pas beaucoup mangé à cause des plats de viande. J’ai aimé les escalopes de poulet épicées (pas si épicées que ça), les macaronis au fromage (même s’ils n’étaient pas recouverts de fromage) et les salades rafraîchissantes. Quant à l’endroit, il est agréable et peu bruyant.

Après avoir dégusté les amuse-gueules, le président de notre section, Ray Dyer, a divisé la salle en deux groupes et les a fait participer à des caucus. D’après les Post-Its récupérés, cette activité s’est relativement bien déroulée et les résultats sont présentés ci-dessous. Alors qu’il rassemblait ces résultats et les présentait aux participants, il a déclaré qu’il ne pouvait s’empêcher d’être très satisfait de la qualité des résultats obtenus par les deux groupes et qu’il était réconfortant d’apprécier les opportunités qui s’offrent aux professionnels de la qualité.

En conclusion, il existe une grande variété de domaines dans lesquels les professionnels de la qualité travaillent et il en existe encore d’autres où ils pourraient travailler en fonction de leurs connaissances, compétences et expertises.

Au nom de Ray et de moi-même, nous remercions tous les participants qui ont contribué à la réussite de cet événement.

Où travaillent les professionnels de la qualité? Dans quels autres domaines pourraient-ils travailler?
• Inspection
• Contrôle statistiques des procédés (CSP ou SPC)
• Auditeur
• Agent gestion du changement
• Développement des procédés
• Gestion de projet
• Implantation de systèmes qualité
• Consultation
• Amélioration continue
• Gestion de risque
• Métrologies
• Réglementations
• Fiabiliste
• Formation
• La qualité dès la conception (Quality by design/House of Quality)
• Implantation Action corrective Action préventive (CAPA)
• Haute direction
• Gestion des opérations
• Leaders de processus/Directeur de départements
• Gestion des stocks
• Environnement
• Recherches consommateur évaluation sensorielle
• Services techniques (consultant interne)
• Sécurité alimentaire
• Lavages et assainissement
• Recherches et développements
• Approvisionnements
• Technologie de l’information
• Support aux ventes


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JP Amiel

Joy E. MasonSix Sigma Projects in the Community
(Lean Six Sigma — Améliorer les communautés)

By Jean-Pierre Amiel, ASQ Senior, CQA ret., Secrétaire (Texte en français suit)

A summary of the Six Sigma projects in the community as hosted on 23 May, 2023 by ASQ Montreal and Indianapolis Sections.

 

Applying industrial problem solving to improve the lives of people and our communities

This joint event started off with a hearty welcome by Raymond Dyer, Chair of the Montreal Section and Joy E. Mason, Indianapolis Programs Chair. They each presented their leadership team members and then Ray introduced Joy, the founder and President of Optimist Business Solutions, and CEO of the Six Sigma Racial Equity Institute™.

Joy started by explaining Why a Six Sigma Racial Equity Institute? An innovative leadership program designed to up-skill black women to be complex problem solvers. This up-skilling initiative is building a talent pipeline of black women through accredited Six Sigma Green Belt training. The objective: equity focus and impact on the Black community and workforce.

We then learned that 2009 research from the U.S. Census Bureau had shown that race and ethnicity in terms of stratification often determine a person’s socioeconomic status and that black women earned (only) 63 cents for every dollar earned by white, non-Hispanic men. She decided that in Indianapolis, there was a need to apply the quality sciences typically used in industry on projects to improve the lives of people and their communities – Six Sigma and Green Belt approaches. The idea was to teach individuals to apply the DMAIC framework and to seek improvement opportunities in local “human” projects. As shown by the three projects presented that evening, some seemingly unimportant (school contact) but with major consequences, and one where the analysis allowed the team to discover that it was a different objective that actually had to be resolved to reduce the number of deaths in postpartum women in the community.

All the projects used a problem-solving framework which required to clearly define problem with details, focus on data and systems, train personnel on data analysis and then train personnel on processes (systems thinking).

  1. School District Communication Bounce-Backs (Team: Brittany Marcus, Shamika Anderson and MaCie Moore, coached by Isaac Hughley and Aisha Goens). It turns out that in one school district, there were many school communications and mailings that were not successfully received by parents. Britanny explained that the object of the team was to decrease returned emails by 6-10% by end of the school year. Their analysis showed that 70% of families not responding were African American. This had a direct impact on textbook rentals, free and reduced lunches and missed transportation. The analysis included a fish-bone diagram where various potential causes were grouped for further evaluation. An analysis of 12,000 emails sent showed that 65% were delivered and only 25% were opened. Of those, 50% were by white families and 33% by African American. A 5-Why analysis further showed that various departments used that contact information, but that because of different student needs and changing of schools, there were multiple contact information fields, and that different department used different fields. A six questions survey of 727 families showed even more disparities: English-speaking households preferred receiving emails between 8am-12pm (47.7%), while Spanish-speaking households preferred text messages after 5pm (42.6%). The action plan proposed: Implementing standardized training for data entry personnel; quarterly emails and texts to remind families to update contact information and a document that specifies the roles and responsibilities of each person who will have a touch point.
  2. Inequitable Time for Housing (Team: Sharvonne Williams, NaTrina Debow and Shawnta Beverly, coached by Vivian Taylor and Harzell Walker). In this project, the team looked at reducing the intake process to shelter and find housing for families from 14 to 10 days without negatively impacting the client’s experience. Sharvonne and Shawnta presented their project. Basically, it was found that in a sector, Black/African American female-led households spent more time in a shelter than their White counterparts. Although the ideal time for a family to be in a shelter was 30 days or less, the intake process typically took 14 business days. With the local staff, the team looked at the actual processes and brainstormed ways to streamline them with training, work instructions, public portals and better client information on housing. Implementing self-service terminals helped greatly in reducing the wait time and a lot of data analysis helped to identify problem areas. They are now into the next steps of improvements proposed in an action plan.
  3. Reducing Maternal Mortality (Team: Detra Warren, coach Isaac Hughley). Detra described her project which dealt with identifying the factors of why black women were 3.2 times more likely to die from pregnancy-related causes as white women. Sobering facts if you consider that 87% of pregnancy-related deaths are preventable. It was a radical change for Detra who had to adapt her analysis skills honed on the fabrication of semiconductors to that of a social field. Her two-phases project dealt with defining the problem, implementing changes, doing a process map with the intent of reducing maternal mortality and using available department of health data analyze the “defects” (postpartum days). Then, with that information, the team developed a fish-bone diagram to look at various potential causes, implement changes and draw up an action plan. It turned out that the problem was more related to the process and follow-ups. The two phased postpartum plan was communicated early and often, following-up with the participating mothers making it highly effective.
  4. WIC Voucher Under-utilization. Although originally planned, because team representatives were not available, this fourth project was not presented.

What did the team members learn? That community projects take at least five months due to bureaucracy and other licensing requirements, the training phase and data collection. It’s not easy to prepare conclusions and present them in a concise, focused “elevator speech” style to various senior managers in the organizations, and to make appropriate action plans and follow-ups. Skills that will stand them in good stead for future projects.

Thank-you to Veronica Marquez for suggesting and making this event possible with the ASQ Indianapolis Section.


Cet événement conjoint a débuté par un accueil chaleureux de Raymond Dyer, président de la Section de Montréal, et de Joy E. Mason, responsable des programmes de la section Indianapolis. Ils ont chacun présenté les membres de leur équipe de direction, puis Ray a présenté Joy, fondatrice et présidente d’Optimist Business Solutions, et PDG du Six Sigma Racial Equity Institute™.

Joy a commencé par expliquer pourquoi un Six Sigma Racial Equity Institute? Il s’agit d’un programme de leadership innovant conçu pour permettre aux femmes noires d’acquérir les compétences nécessaires pour résoudre des problèmes complexes. Cette initiative vise à créer un vivier de talents parmi les femmes noires par le biais d’une formation Six Sigma Green Belt accréditée. L’objectif: mettre l’accent sur l’équité et avoir un impact sur la communauté et la main-d’œuvre noires.

Nous avons ensuite appris qu’une étude menée en 2009 par le Bureau du recensement des États-Unis avait montré que la race et l’ethnicité, en termes de stratification, déterminent souvent le statut socio-économique d’une personne et que les femmes noires gagnent (seulement) 63 cents pour chaque dollar gagné par les hommes blancs non hispaniques. Elle a décidé qu’à Indianapolis, il était nécessaire d’appliquer les sciences de la qualité généralement utilisées dans l’industrie à des projets visant à améliorer la vie des personnes et de leurs communautés – les approches Six Sigma et Green Belt. L’idée était d’apprendre aux individus à appliquer le cadre DMAIC et à rechercher des opportunités d’amélioration dans les projets “humains” locaux. Comme le montrent les trois projets présentés ce soir-là, certains apparemment sans importance (contact avec l’école) mais avec des conséquences majeures, et un projet où l’analyse a permis à l’équipe de découvrir que c’était un objectif différent qui devait en fait être résolu pour réduire le nombre de décès chez les femmes en post-partum dans la communauté.

Tous les projets ont utilisé un cadre de résolution des problèmes qui exigeait de définir clairement le problème avec des détails, de se concentrer sur les données et les systèmes, de former le personnel à l’analyse des données, puis de former le personnel aux processus (pensée systémique).

  1. Les rebonds de la communication dans les districts scolaires (équipe: Brittany Marcus, Shamika Anderson et MaCie Moore, encadrées par Isaac Hughley et Aisha Goens). Il s’est avéré que dans un district scolaire, de nombreuses communications et de nombreux courriers n’étaient pas reçus par les parents. Britanny a expliqué que l’objectif de l’équipe était de réduire de 6 à 10% le nombre de courriels renvoyés (rebonds) avant la fin de l’année scolaire. Leur analyse a montré que 70% des familles qui ne les recevaient pas étaient afro-américaines. Cela avait un impact direct sur la location de manuels scolaires, les repas gratuits et a prix réduits et les transports manqués. L’analyse comprenait un diagramme en arête de poisson dans lequel les différentes causes potentielles étaient regroupées pour une évaluation plus approfondie. Une analyse de 12 000 courriels envoyés a démontré que 65% d’entre eux ont été livrés et que seuls 25% ont été ouverts. Parmi ceux-ci, 50% ont été reçus par des familles blanches et 33% par des familles afro-américaines. Une analyse des 5 pourquoi (5-Why) a également montré que divers départements utilisaient ces informations de contact, mais qu’en raison des besoins différents des élèves et du changement d’école, il y avait plusieurs champs d’informations de contact, et que chaque département utilisait des champs différents. Une enquête en six questions menée auprès de 727 familles a révélé des disparités encore plus importantes: Les ménages anglophones préfèrent recevoir des courriels entre 8h et 12h (47,7%), tandis que les ménages hispanophones préfèrent recevoir des SMS après 17h (42,6%). Le plan d’action proposait: la mise en place d’une formation standardisée pour le personnel chargé de la saisie des données; des courriels et des textes trimestriels pour rappeler aux familles de mettre à jour leurs coordonnées; et un document précisant les rôles et les responsabilités de chaque personne qui aura un point de contact.
  2. Temps inéquitable pour le logement (équipe: Sharvonne Williams, NaTrina Debow et Shawnta Beverly, encadrées par Vivian Taylor et Harzell Walker). Dans ce projet, l’équipe a cherché à réduire de 14 à 10 jours la durée de la procédure d’admission pour héberger et trouver un logement pour les familles, sans que cela ait un impact négatif sur l’expérience client. Sharvonne et Shawnta ont présenté leur projet. Fondamentalement, il a été constaté que dans un secteur, les ménages dirigés par des femmes noires ou afro-américaines passaient plus de temps dans un refuge que leurs homologues blancs. Bien que la durée idéale de séjour d’une famille dans un refuge soit de 30 jours ou moins, le processus d’admission prenait généralement 14 jours ouvrables. Avec le personnel local, l’équipe a examiné les processus actuels et a réfléchi à des moyens de les rationaliser grâce à la formation, aux instructions de travail, aux portails publics et à une meilleure information des clients sur le logement. L’ajout de terminaux libre-service ont grandement contribué à réduire le temps d’attente et de nombreuses analyses de données ont permis d’identifier les domaines problématiques. Les améliorations proposées dans le cadre d’un plan d’action en sont maintenant aux prochaines étapes.
  3. Réduction de la mortalité maternelle (équipe: Detra Warren, coach Isaac Hughley). Detra a décrit son projet qui visait à identifier les facteurs expliquant pourquoi les femmes noires étaient 3,2 fois plus susceptibles de mourir de causes liées à la grossesse que les femmes blanches. Des faits qui donnent à réfléchir si l’on considère que 87% des décès liés à la grossesse sont évitables. C’était un changement radical pour Detra qui a dû adapter ses compétences d’analyse acquises lors de la fabrication de semi-conducteurs à celles d’un domaine social. Son projet en deux phases consistait à définir le problème, à mettre en œuvre des changements, à dresser une carte des processus dans le but de réduire la mortalité maternelle et, à l’aide des données disponibles du ministère de la santé, à analyser les “défauts” (jours de post-partum). Ensuite, à partir de ces informations, l’équipe a réalisé un diagramme en arête de poisson pour examiner les différentes causes potentielles, mettre en œuvre les mesures de réduction de la mortalité maternelle et ensuite évaluer les progrès réalisés dans ce domaine.
  4. Sous-utilisation des bons WIC. Bien que prévu à l’origine, ce quatrième projet n’a pas été présenté car les représentants de l’équipe n’étaient pas disponibles.

Qu’ont appris les membres de l’équipe? Que les projets communautaires prennent au moins cinq mois en raison de la bureaucratie et d’autres exigences en matière d’autorisation, la phase de formation et la collecte de données. Il n’est pas simple de préparer des conclusions et de les présenter de façon  concise et ciblée du type “discours d’ascenseur” à divers cadres supérieurs des organisations ainsi que de faire des plans d’action appropriés et leurs suivis. Des compétences qui leur seront utiles pour de futurs projets.

Merci à Veronica Marquez d’avoir suggéré et rendu possible cet événement avec la section d’Indianapolis de l’ASQ.

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JP Amiel

Vincent Bechard & Dominic St-OngeProcess Optimization Through Predictive Modelling
(Optimisation des processus par la modélisation prédictive)

By Jean-Pierre Amiel, ASQ Senior, CQA ret., Secrétaire (Texte en français suit)

A personal summary of the Process optimization Through Predictive Modelling as explained on 26 April, 2023 by Vincent Béchard and Dominic St-Onge of Difference-GCS.

Well the statisticians have done it again!

Over a period of two years, they managed to turn hundreds of variables and thousands of measurements into a cohesive and predictable approach that allow operators of a Kraft pulp mill to tweak their process so as to reduce process variability and off-specifications so as to attain the objective levels. And, they even managed to explain in a way so I could almost understand everything that was said.

Our speakers explained how a “black liquor” (a mix of lignin, inorganic compounds and water) is produced as a by-product from digesting pulpwood in the Kraft paper-making process. This liquor is quite toxic and so it is treated through a complex process of cooking, filtering and re-treatment and produces various by-products, including as an energy source for the plant. (Wikipedia)

The case presented centered around a Kraft pulp mill that had seen a drop in the process mean, an increase in the process variability of black liquor solids and so was unable to achieve its historical target of 15%. In this particular production environment of 1,000 Tonnes/day, each 1% increase represented 1 Million $/year in extra steam and energy costs. Traditionally, adjustments to the process was done by experienced operators based on transferred knowledge and long term practices which were less available.

We were presented various steps taken by the teams to improve the processes steps and the experimentation of the implementation of an automated “recommender system” to allow an operator to proactively readjust the chemical characteristics of a critical process feed stream when there is a foreseen significant upset.

To analyse and implement the proper tools for the operator to achieve the task, Kaizen exercises identified steps to improve solids but this could not address variability. Using a statistical model, key variables out of over a hundred were identified. They had to be independent and non-co-linear. A Change point analysis and stability analysis was performed, then a “Random Forests” machine learning model was built to predict the impact of various variables. This allowed the identification of a handful of variables key to the 15% goal, and that could be tracked and suggest to the operator the set points that could be adjusted based on their experience (augmented vs artificial intelligence). With this approach, the objective was to find the smallest set-point moves to ensure that targets can be respected.

Predictive Modelling Evolution

As a result of these efforts, including Kaizen and DMAIC (Define, Measure, Analyze, Improve and Control) exercises, the Ppk (Process performance index, how well a process is within specification limits — 1.0 meaning a process is centred) was improved from 0.22 to 1.33 and the off-specifications were reduced from 23,6% to 1,1%.

We look forward to continuing discussions on this and other topics in the future.


Un résumé personnel de l’Optimisation des processus par la modélisation prédictive tel qu’expliqué le 26 avril 2023 par Vincent Béchard et Dominic St-Onge de Difference-GCS

Les statisticiens ont récidivé!

Sur une période de deux ans, ils ont réussi à transformer des centaines de variables et des milliers de mesures en une approche cohérente et prévisible qui permet aux opérateurs d’une usine de pâte kraft d’ajuster leur processus de manière à réduire la variabilité du processus et les hors-spécifications afin d’atteindre les niveaux visés. Et ils ont même réussi à m’expliquer de manière à ce que je puisse presque comprendre tout ce qui a été dit.

Nos intervenants ont expliqué comment une “liqueur noire” (un mélange de lignine, de composés inorganiques et d’eau) est produite comme sous-produit de la digestion du bois à pâte dans le processus de fabrication du papier kraft. Cette liqueur étant assez toxique, elle est traitée par un processus complexe de cuisson, de filtrage et de retraitement et produit divers sous-produits, notamment comme source d’énergie pour l’usine. (Wikipedia)

Le cas présenté est celui d’une usine de pâte Kraft qui a vu sa teneur moyenne en liqueur noire chuter et sa variabilité augmenter et n’a donc pas pu atteindre son objectif historique de 15%. Dans cet environnement de production particulier de 1 000 tonnes/jour, chaque augmentation de 1% représentait 1 million de dollars par an en coûts supplémentaires de vapeur et d’énergie. Traditionnellement, les ajustements du processus étaient effectués par des opérateurs expérimentés sur la base de connaissances transférées et de pratiques à long terme qui étaient moins disponibles.

On nous a présenté diverses mesures prises par les équipes pour améliorer les étapes du processus et l’expérimentation de la mise en œuvre d’un “système de recommandation” automatisé pour permettre à un opérateur de réajuster de manière proactive les caractéristiques chimiques d’un flux d’alimentation critique du processus lorsqu’il y a une perturbation significative anticipée du processus.

Pour analyser et mettre en œuvre les outils appropriés permettant à l’opérateur d’accomplir sa tâche, les exercices Kaizen ont permis d’identifier des étapes pour améliorer les solides, mais cela n’a pas permis d’aborder la question de la variabilité. À l’aide d’un modèle statistique, des variables clés parmi plus d’une centaine ont été identifiées. Elles devaient être indépendantes et non colinéaires. Une analyse des points de changement et une analyse de stabilité ont été réalisées, puis un modèle d’apprentissage machine “forêts aléatoires” a été construit pour prédire l’impact des différentes variables. Cela a permis d’identifier une poignée de variables clés pour l’objectif de 15% et qui pourraient être suivies et suggérer à l’opérateur les points de consigne qui pourraient être ajustés sur la base de leur expérience (intelligence augmentée vs artificielle). Avec cette approche, l’objectif était de trouver les plus petits déplacements de points de consigne pour s’assurer que les objectifs puissent être respectés.

Grâce à ces efforts, y compris les exercices Kaizen et DMAIC (Définir, Mesurer, Analyser, Améliorer et Contrôler), le Ppk (Indice de performance du processus, dans quelle mesure un processus se situe dans les limites des spécifications – 1,0 signifiant qu’un processus est centré) a été amélioré de 0,22 à 1,33 et les hors-spécifications ont été réduites de 23,6% à 1,1%.

Nous nous réjouissons de poursuivre les discussions sur ce sujet ainsi que sur d’autres à l’avenir.

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Had You Connected to the Last Event | Si vous étiez connecté (2023-03-28)

JP Amiel

How Learning Culture Assessment helps transformation

(L’évaluation de la culture d’apprentissage contribue à la transformation)

Anastasia Sayegh + Samer Hamadeh

By Jean-Pierre Amiel, ASQ CQA Ret., Chair Website committee.   (Text en français suit)

Here is a review of the presentation of our lunchtime webinar on 28 March 2023 by Anastasia Sayegh, Founder Process Excellence Systems live from Lebanon and Samer Hamadeh, Partner at ILO connected from England on How Learning Culture Assessment helps with transformation using The Learning Culture Mirror. (Texte en français suit)

Learning Culture Mirror

Shaping the future with better learning . . . these are thoughts on how to reduce the unknown and change our mindset. Anastasia Sayegh first offered us an introduction to The Learning Culture Mirror (LCM) by explaining how an organization must continually expand its capacity and orchestrate the optimization of its systems.

But, a company is not a just a simple organization chart of people, departments and hierarchy. It is really composed of humans who have various direct or indirect interactions/relationships with other humans within the company and community. Therefore to be able to operate changes in the company, one must cycle/adjust our plans as we meet up with the real world versus the mental models of the company structure.

She then introduced the diagnostic assessment tool developed by the Institute for Learning Organization (ILO) with its partner The Society for Learning Organization in Norway. That tool is the Learning Culture Mirror (LCM) that will give management a better understanding of the organization’s human profile within a six-block framework — a lens to SEE, a framework to THINK and a tool to ACT.

At that point Samer Hamadeh took over and described the process and the LCM tool: a battery of 24 questions, structured into six basic blocks. It’s objective – help answer four key questions for management:

  1. What are the key characteristics of an adaptive learning culture?
  2. Which are the weak and strong characteristics?
  3. What is our main improvement direction?
  4. How to get ‘feedback signals” and steer our organizational development?

Learning Culture Mirror General Index

He explained that actually, the questions also/especially offer an open dialogue on the differences within the organization as the evaluation is not only based on an analysis of the responses received to the surveys, but also on the lack or differences of the responses within the organization as well as the number of uncompleted surveys versus the completed ones. All of these are indicative of the situation being measured.

Samer then proceeded to discuss the different LC Mirror steps: Survey, Visualization and Plan Assist and what can be gleaned from the various charts and reports generated by the tool. From a large overview to the drilled down information which permits comparison of one sector vs another.

A very interesting presentation.

Find more information at: www.learnorg.global or https://ot.lcm-ilo.com/.


Voici un sommaire de notre webinaire diner du 28 mars 2023, une présentation sur L’évaluation de la culture d’apprentissage contribue à la transformation avec Anastasia Sayegh, Fondatrice de Process Excellence Systems en direct du Liban, et de Samer Hamadeh, Parteneraire chez ILO de l’Angleterre, sur l’usage du Learning Culture Mirror (LCM, Miroir de la culture de l’apprentissage).

Façonner l’avenir avec un meilleur apprentissage . . . des réflexions sur la façon de réduire l’inconnu et de changer notre état d’esprit.

Anastasia Sayegh nous a d’abord présenté le Miroir de la culture de l’apprentissage (LCM) en expliquant comment une organisation doit continuellement accroître sa capacité et orchestrer l’optimisation de ses systèmes. Une compagnie est en réalité composée d’êtres humains qui ont diverses interactions/relations directes ou indirectes avec d’autres êtres humains au sein de l’entreprise et de la communauté. Elle a ensuite présenté l’outil d’évaluation diagnostique développé par l’Institute for Learning Organization (ILO) avec son partenaire The Society for Learning Organization en Norvège. Cet outil, le Learning Culture Mirror (LCM), permettra à la direction de mieux comprendre le profil humain de l’organisation dans un cadre à six blocs – une lentille pour VOIR, un cadre pour PENSER et un outil pour AGIR.

Samer Hamadeh a alors pris le relais et décrit le processus et l’outil LCM – une batterie de 24 questions structurées en six blocs de base. Son objectif – aider à répondre à quatre questions clés pour la direction:

  1. Quelles sont les principales caractéristiques d’une culture d’apprentissage adaptative?
  2. Quelles sont les caractéristiques faibles et fortes?
  3. Quel est notre principal axe d’amélioration?
  4. Comment obtenir des “signaux de retour” et orienter notre développement organisationnel?

Il a expliqué qu’en réalité, les questions offrent aussi et surtout un dialogue ouvert sur les différences au sein de l’organisation, car l’évaluation n’est pas seulement basée sur une analyse des réponses reçues aux enquêtes, mais aussi sur l’absence ou les différences de réponses au sein de l’organisation, ainsi que sur le nombre d’enquêtes non complétées par rapport à celles qui ont été complétées.

Samer a ensuite abordé les différentes étapes du LC Mirror: enquête, visualisation et assistance au plan, ainsi que ce que l’on peut tirer des différents graphiques et rapports générés par l’outil. De la vue d’ensemble aux informations détaillées qui permettent de comparer un secteur à un autre.

Une présentation très intéressante.

Pour de plus amples informations, vous pouvez consulter les sites suivants: www.learnorg.global ou https://ot.lcm-ilo.com/.

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Raymond Dyer 2020

Applying Intentional Creativity to Quality Management

(Appliquer la créativité intentionnelle à la gestion de la qualité)

Ruth StanleyBy Raymond E. Dyer (Ray), ASQ Senior Member, CMQ/OE, & CQA (Texte en français suit)

The most valuable “currency” of any organization is the initiative and creativity of its members. Every leader has the solemn moral responsibility to develop these to the maximum in all [their] people.” – W. Edwards Deming

I hope I can give justice to the presentation and workshop of our 22 March, 2023 webinar with Ruth Stanley on Applying Intentional Creativity to Quality Management. It’s not always easy to moderate such events, participate in the workshops, and then write up about them. However, here it goes.

Like all good presenters, Ruth spent some time sharing with us about the co-authors of her book “Your Creativity Sprint“, i.e. Dwight Powless, Tim Ragan, and Edwin Garro. After reviewing a few popular acronyms like VUCA (Volatile-Uncertain-Complex-Ambiguous) and BANI (Brittle-Anxious-Non-linear-Incomprehensible) and their significance, Ruth asked us “How do we nurture creativity?“, going through components such as Physical, Mental, Emotional, Relationship, Spiritual, and Cultural.  This alone indicated we were going to talk about human factors which she summarized as “embracing our humanity“.

Ruth then spent time reviewing techniques such as “Look, Listen, Feel Challenge” and incorporating Intentional Creativity into an A3 Challenge, a tool many Quality professionals are very aware of. My favorite workshop exercises were the “Ugly Baby Challenge” where no “buts” were allowed and especially the “Hero Challenge” where the focus was on relating a message regarding a current issue using a hero to give your younger self a message from your experience — talk about thinking out of the box!

Having taken courses in coaching, I could not help feeling that Ruth’s Intentional Creativity approach shared strong elements with a coaching approach that really solicits individuals to think of alternatives and paths of action themselves rather than following prescribing best practices suggested to them.  This ASQ event had everything we look for: information, application of theory, and an opportunity to reflect and learn. An excellent experience indeed. For more information on Ruth’s book, see Your Creativity Sprint Five-Week Challenge.

We look forward to continuing discussions on this and other topics in the future.


J’espère pouvoir donner justice à la présentation et l’atelier de notre webinaire du 22 mars, 2023 avec Ruth Stanley, sur Appliquer la créativité intentionnelle à la gestion de la qualité. Il n’est pas toujours facile d’animer de tels événements, de participer aux ateliers et de rédiger un article à leur sujet. Mais voici ce qu’il en est.

Comme tout bon présentateur, Ruth a pris le temps de nous présenter les co-auteurs de son livre “Your Creativity Sprint“: c’est-à-dire Dwight Powless, Tim Ragan et Edwin Garro. Après avoir passé en revue quelques acronymes populaires tels que VUCA (Volatile-Uncertain-Complex-Ambiguous, en français “Volatilité, Incertitude, Complexité et Ambiguïté”) et BANI (Brittle-Anxious-Non-linear-Incomprehensible, en français “Fragile, Anxieux, Non-linéaire et Incompréhensible”) et leur signification, Ruth a posé la question suivante: “Comment nourrir la créativité?” en passant en revue des éléments tels que le physique, le mental, l’émotionnel, le relationnel, le spirituel et le culturel. Ceci indiquait que nous allions parler des facteurs humains, ce qu’elle a résumé en disant qu’il s’agissait d’embrasser notre humanité.

Ruth a ensuite passé du temps à revoir des techniques telles que “Look, Listen, Feel Challenge” (regarder, écouter, ressentir le défi) et incorporer la créativité intentionnelle dans un défi A3, un outil dont les professionnels de la qualité connaissent bien. Mes exercices préférés ont été le “Ugly Baby Challenge” (défi du bébé moche), où aucun “mais” n’était autorisé, et surtout le “Hero Challenge” (défi du héro), où il s’agissait de faire passer un message sur un sujet d’actualité en utilisant un héro pour faire passer à son jeune soi-même un message issu de son expérience – il s’agissait vraiment de sortir des sentiers battus!

Ayant suivi des cours de coaching, je n’ai pu m’empêcher de penser que l’approche de la créativité intentionnelle de Ruth partageait des éléments forts avec une approche de coaching qui sollicite réellement les individus pour qu’ils réfléchissent eux-mêmes à des alternatives et à des voies d’action plutôt que de suivre les meilleures pratiques prescrites qui leur sont suggérées. Cet événement de l’ASQ avait tout ce que nous recherchons: de l’information, l’application de la théorie et une occasion de réfléchir et d’apprendre. Une excellente expérience en somme. Pour plus d’informations sur le livre de Ruth, voir Your Creativity Sprint Five-Week Challenge.

Nous nous réjouissons de poursuivre les discussions sur ce sujet ainsi que sur d’autres à l’avenir.

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Michelle Paquin

Michelle PaquinLe Toyota Kata: Un outil pour vous apprendre à pêcher!
(Toyota Kata: A tool to teach you how to fish!)

Par Michelle Paquin, MBA, M Sc. IT, and Digital Event Strategist (DES) Lecturer.   (English text follows)

“Si tu donnes un poisson à un homme, il se nourrit une fois. Si tu lui apprends à pêcher, il se nourrira toute sa vie . . .  enseigner le Toyota Kata, c’est comme apprendre à pêcher”

Voici un sommaire de la présentation Voyage au cœur du Kata et de la pensée scientifique (Journey to the heart of Kata and scientific thinking) par Sylvain Landry, le 22 février 2023.

Depuis plusieurs années, on parle d’organisation apprenante, comment les technologies révolutionnent les entreprises, cependant, notre cerveau est-il réellement adapté à la vie du 21ième siècle? Cette question a été soulevée par M. Landry lors de sa présentation sur le Toyota Kata et la pensée scientifique. En utilisant le raisonnement par l’absurde, notre conférencier débute en soulignant plusieurs erreurs qui ont fait les manchettes: en passant par l’intervention SWAT à la mauvaise adresse, une fausse victoire de “La La Land” aux Oscars, jusqu’à un demi-tour d’un vol Los Angeles–Tokyo puisqu’un passager s’était trompé d’avion. Ces exemples soulèvent la question de savoir si nous apprenons réellement de nos erreurs.

Depuis les années 80 et 90, plusieurs se sont penchés sur les raisons du succès de Toyota. Bien que l’entreprise soit souvent associée à la méthode Lean Manufacturing et à sa boîte à outil, il est intéressant de se demander pourquoi nous n’arrivons pas à atteindre cette efficience organisationnelle.

Mike Rother a étudié la logique sous-jacente afin d’arriver à reproduire ce modèle tant analysé: “Le dénominateur commun de leur enseignement était l’apprentissage de l’amélioration continue des processus réels, jour après jour, avec un retour d’information sur les processus de la part du coach/manager”.

Tel que présenté par Sylvain Landry, le Toyota Kata est basé sur deux concepts principaux: soit le modèle de pensé scientifique, exprimé sous la forme bien connue du “Plan-Do-Check-Act”, et la pratique délibérée. Chaque améliorateurs (appelé apprenant dans le contexte) peut développer une pensée scientifique grâce une routine et apporter des améliorations continues par l’expérimentation afin d’avancer vers une condition cible. La condition cible est établie à très court terme afin d’arriver vers la vision de l’organisation (ou le défi) qui lui est à plus long terme. Cette méthode itérative repose sur des questions prédéfinies posées par un coach (souvent supervisé par un second coach), ce qui permet à l’apprenant de raisonner un problème plutôt que de sauter aux conclusions. C’est d’ailleurs un élément très intéressant qui est présenté, soit le lien entre le Kata et la neuroscience. Notre cerveau est conçu pour prendre des décisions qui sont basées sur des expériences, des habitudes et même des peurs: “dans 43% des cas, nos actions sont réalisées sans réflexion consciente”. Le Kata nous apprend à désapprendre. Tel un musicien qui pratique ses gammes, en répétant la démarche scientifique, les organisations peuvent devenir des organisations apprenantes.

Kata Pensée scientifique 20230222, Benoit Leclair https://benoitleclair.com/fr/

Sylvain a présenté des exemples concrets de l’application de cette méthode dans les organisations telles que l’hôpital NEA Baptist, IBM et SigmaPoint Technologies. Cela permet de démystifier, bien que cette technique ait été initialement analysée chez Toyota, celle-ci peut être appliquée dans tous les domaines. La seule aberration pourrions-nous penser du Kata, est qu’elle n’est pas appliquée de manière explicite chez Toyota. Pour eux, cette façon de réfléchir fait partie intégrante de leur ADN: “les poissons ne savent pas qu’ils vivent dans l’eau”.

Un autre buzzword certains penserons; au contraire le Kata devrait être à la base de toutes vos histoires de pêche!

Merci encore à Sylvain Landry, sommité dans le domaine, mais surtout conférencier hors pair, qui a su nous transmettre sa passion pour le Toyota Kata et la pensée scientifique.


Here is a summary of the presentation Voyage au cœur du Kata et de la pensée scientifique (Journey to the Heart of Kata and Scientific Thinking) by Sylvain Landry, on 22 February 2023.

For several years now, we have been talking about the learning organization, how technologies are revolutionizing businesses, but is our brain really adapted to life in the 21st century? This question was raised by Mr. Landry during his presentation on the Toyota Kata and Scientific Thinking. Using reasoning by the absurd, our speaker began by pointing out several mistakes that have made headlines: from a SWAT intervention at the wrong address, the false victory of “La La Land” at the Oscars, to a Los Angeles-Tokyo flight U-turn because a passenger had taken the wrong plane. These examples raise the question of whether we really learn from our mistakes.

Since the 1980s and 1990s, many people have looked at the reasons for Toyota’s success. Although the company is often associated with Lean Manufacturing and its toolbox, it is interesting to ask why we cannot achieve this organizational efficiency.

Mike Rother has studied the logic behind how to replicate this much-analyzed model: “The common denominator of their teaching was learning to continuously improve the actual processes, day by day, with feedback on the processes from the coach/manager”.

As presented by Sylvain Landry, the Toyota Kata is based on two main concepts: the scientific thinking model, expressed in the well-known form of “Plan-Do-Check-Act”, and deliberate practice. Each improver (called a learner in the context) can develop scientific thinking through a routine and make continuous improvements through experimentation in order to move towards a target condition. The target condition is established in the very short term in order to arrive at the organization’s longer term vision (or challenge). This iterative method relies on pre-defined questions asked by a coach (often supervised by a second coach), which allows the learner to reason through a problem rather than jump to conclusions. This is a very interesting element that is presented, namely the link between Kata and neuroscience. Our brains are designed to make decisions based on experiences, habits and even fears: “43% of the time, our actions are carried out without conscious thought“. Kata teaches us to unlearn. Like a musician practicing his scales, by repeating the scientific approach, organizations can become learning organizations.

Sylvain presented concrete examples of the application of this method in organizations such as NEA Baptist Hospital, IBM and SigmaPoint Technologies. This helps to demystify that although this technique was initially analyzed at Toyota, it can be applied in all areas. The only aberration we can think of with Kata is that it is not explicitly applied at Toyota. For them, this way of thinking is an integral part of their DNA: “fish don’t know they live in water“.

Another buzzword some will think; on the contrary the Kata should be the basis of all your fishing stories!

Thanks again to Sylvain Landry, a leading expert in the field, but above all an outstanding speaker, who was able to pass on his passion for the Toyota Kata and Scientific Thinking.

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JP Amiel

Sophie GagnonISO 37001: Système de gestion anticorruption
(ISO 37001: Anti-corruption Management System)

Par Jean-Pierre Amiel, ASQ Senior, CQA ret., Responsable comité web. (English text follows)

Vous pensiez tout savoir sur les normes ISO? Eh bien, comme 72% des participants, nous ne savions pas qu’ISO avait publié en 2016 une norme sur la gestion anticorruption et qu’on s’apprêtait à en faire sa mise à jour. En réalité, Sophie Gagnon, notre conférencière invitée nous a expliqué qu’il ne fallait pas vraiment se fier au titre de cette norme parce qu’elle traite surtout sur l’ensemble des valeurs de l’entreprise, donc l’éthique. Elle a partagé son parcours professionnel d’ingénieure dans le domaine manufacturier et d’amélioration continue, d’innovation des processus et ce qu’il l’a enfin amené à faire une maîtrise en éthique appliquée, son dada favori.

Selon sa présentation, nous avons appris qu’il y aurait plus de 7,900 sites (2,996 entreprises) de certifiés mondialement à cette norme et que 28% sont en Italie, 17% en Indonésie, 10% en Corée. Le reste sont surtout dans des pays asiatiques et Amérique latine. Et le Québec alors? Il y a Hydro Québec et la municipalité de Granby (!) et il semble que la firme Pomerleau est en phase de développement. Pourrait-on être choqué si l’on en croit les “unes” des contrats de construction ici? En 2018, suite à la Commission d’enquête sur l’octroi et la gestion des contrats publics dans l’industrie de la construction, le gouvernement du Québec a passé une loi permettant à la Régie du bâtiment du Québec (RBQ) la latitude de participer à la prévention et la lutte contre les pratiques frauduleuses et la corruption dans la construction. Cette approche volontaire, se base sur les grand principes de la norme pour évaluer et décerner des Certificats d’intégrité.

Il y a eu beaucoup de discussions et d’échanges sur l’approche quant à la mise en oeuvre d’un tel système et aussi comment un organisme pourrait s’auditer, se faire auditer et certifier son intégrité. Sophie nous a ramener aux principes de la norme, celle-ci “. . . définit des exigences pour les systèmes de management conçus pour aider les organismes à prévenir, détecter et lutter contre la corruption, et à respecter les lois anti-corruption et leurs engagements volontaires applicables à leurs activités“.  Donc, une prévention par la mise en place de l’analyse des risques d’opportunités de dérapage afin de mettre en place les systèmes et mécanismes qui peuvent les réduire ou les éliminer. C’est à dire, évaluer les divers risques: gouvernance; éthique; non-respect des lois et des règlements; ressources humaines; personnes; sécurité de l’information; appels d’offres; comités de sélection; collusion et vérification inadéquate. Ensuite, de s’assurer de développer une vision commune des valeurs de l’entreprise, les définir, les faire connaitre au personnel et en valider son respect. Être moralement correct non seulement à l’interne, mais aussi vu de l’externe.

Sophie nous a ensuite présenté et rappelé les quatre phases de la mise en oeuvre d’un système: Planifier – Déployer – Contrôler – Agir, mais pas nécessairement en ligne continue, plutôt en boucle de validations afin d’assurer l’atteinte de chaque bloc. Elle a ensuite dressé un portrait de l’approche au Québec du développement des systèmes internes permettant de se qualifier à un Certificat d’intégrité. Elle a terminé en présentant une autre vision de l’éthique – Savoir quant et comment réfléchir — en référence au processus qu’un professionnel met en oeuvre lorsqu’il agit avec pertinence en situation.

Vous avez raté une bonne présentation.

Nous nous réjouissons de poursuivre les discussions sur ce sujet ainsi que sur d’autres à l’avenir.


And you thought you knew everything about ISO standards? Well, like 72% of the participants, we didn’t know that ISO had published a standard on anti-corruption management in 2016 and that it was about to be updated. In fact, Sophie Gagnon, our guest speaker, explained to us that we should not really rely on the title of this standard because it deals mainly with all the values of the company, i.e. ethics. She shared her career path as a manufacturing engineer and in continuous improvement/process innovation and what finally led her to do a master’s degree in applied ethics, her favourite hobby.

From his presentation, we learned that there are over 7,900 sites (2,996 companies) certified to this standard worldwide and that 28% are in Italy, 17% in Indonesia, 10% in Korea. The rest are mostly in Asian countries and Latin America. What about Quebec? There is Hydro Quebec and the municipality of Granby (!) and it seems that Pomerleau is in the development phase. Could we be shocked if we believe the front pages of construction contracts here? In 2018, following the Commission of Inquiry into the awarding and management of public contracts in the construction industry, the Quebec government passed a law allowing the Régie du bâtiment du Québec (RBQ) the latitude to participate in the prevention and fight against fraudulent practices and corruption in construction. This voluntary approach is based on the main principles of the standard for evaluating and awarding Integrity certificates.

There was a lot of discussion and exchange on the approach to implementing such a system and also how an organisation could audit itself, be audited and certify its integrity. Sophie took us back to the principles of the standard, which sets out “. . . requirements for management systems designed to help organisations prevent, detect and combat corruption, and to comply with anti-bribery laws and voluntary commitments applicable to their activities“. Thus, prevention through the implementation of risk analysis of opportunities for slippage in order to put in place systems and mechanisms that can reduce or eliminate them. This means assessing the various risks: governance; ethics; non-compliance with laws and regulations; human resources; people; information security; tenders; selection committees; collusion and inadequate auditing. Secondly, to ensure that a common vision of the company’s values is developed, defined, communicated to staff and validated. To be morally correct not only internally, but also externally.

Sophie then presented and reminded us of the four phases of the implementation of a system: Plan – Deploy – Control – Act, but not necessarily in a continuous line, but rather in a loop of validations in order to ensure the achievement of each block. She then presented a portrait of the approach used in Quebec to develop internal systems so as to qualify for a Certificate of Integrity. She concluded by presenting another view of ethics – Knowing when and how to think – in reference to the process a professional uses when acting appropriately in a situation.

You missed a good presentation.

We look forward to continuing discussions on this and other topics in the future.

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Had You Connected to the Last Event | Si vous étiez connecté (2022.11.30)

JP Amiel

Kaikaku Before Kaizen
(Le Kaikaku avant le Kaizen)

By Jean-Pierre Amiel, ASQ Senior, CQA ret., Secretary, Web committee Chair and Audit Chair. A review of our last event of the year, a webinar the 30th of November 2022 with Albanesa Ymaya, live from the Dominican Republic. (Texte en français)

Kaizen Teian, Kaizen Events, Kaikaku, Kakushin
How is your Japanese quality dictionary?

It turns out that 76% of the 27 respondents to our quick poll admitted that they had not heard of Kaikaku and that 19% had heard a little about it. Well of course, this meant that our webinar participants had both ears propped up to listen to Albanesa Ymaya explain what this beast was and how it differed from it’s better known brother Kaizen. A new concept? No. It’s just that we have been more concerned with doing Kaizen events since they are easier to realize and show results sooner.

To get us started, Albanesa first introduced the terms proposed by Masaaki Ima (considered the father of Continuous improvement) as part of his spirit of improvement, and then described the relationships between Kaizen Teian, Kaizen Events, Kaikaku and Kakushin.
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She then proceeded to explain the commonalities of both Kaikaku and Kaizen and illustrated their major differences by using extinguishing a fire as the goal — using Kaikaku is like using a fire hose, doing Kaizen events is like using water droplets. With both methods you will reach for the same improvement goal but, bottom line, the effort and time required to realize the goal and the eventual gain, impact and benefits are quite different as shown in the graph. For the three main blocks of a process, the table below summarizes the Kaikaku and Kaizen parameters. Typically the “Inputs” are the same but the differences appear in the “Global Process” and the “Outputs” — the efforts required and benefits obtained.

Inputs Global Process Outputs
Kaizen Kaikuku Kaizen Kaikuku Kaizen Kaikuku
• Leadership support (8-10)
• Training material
• Office supplies
• KPIs Information
• Lean, SME (OpEx leader or trained Kaizen leader)
• Work room as needed
• Food and drinks
• Leadership support (8-10)
• Training material
• Office supplies
• KPIs Information
• Lean, SME (OpEx leader or trained Kaizen leader)
• Work room as needed
• Food and drinks
• Pre-event plan: 15-30 days
• Event development: 3-5 days (8hrs)
• Action plan completion: 30 days, average
• Pre-event plan: 30 days
• Event development: 15 days (120hrs)
• Implementation: 60-180 days, average
• Issue eliminated or improved
• Employee engagement
• Best practices shared
• Employees trained
• Savings/cost reduction
• Improved operational performance
• Stable process
• Improved margin
• Improved flow
• Several projects completed
• Best practices shared
• Employee engagement improved
• Improved behaviours
• Improved culture
• Savings/cost reduction

Albanesa also shared and clarified for us the philosophy she embodies with her clients: to first plan a Kaikaku project and then do Kaizen events so as to support and achieve improvement opportunities.
Her equation for success: KAIKAKU + KAIZEN EVENT + KAIZEN TEIAN + KAKUSHIN = THE REAL LEAN TRANSFORMATION APPROACH. She’s a Kaizen type of lady, no?
As a result, there were many exchanges by the participants, as summarized below:

  • How do you measure the results to know that the initiative gave the expected results? How long do you analyze after implementation? AY: Projects are first selected on the data collected and the evolution of KPIs.
  • How is Kaizen and Kaikaku different from Lean Six Sigma? Participant: Kaikaku is like multiple focused Kaizen events that integrates them. Re-engineering is to do it again but somehow the human component is not usually considered, in the long term it is less effective.
  • What’s the difference between Kaikaku and breakthrough?
  • How do you achieve the team’s commitment to achieve the transformations? AY: Teaching and implication.
  • I believe also people have to find a purpose for themselves . . . what’s in it for me?
  • Organizations which have no slack . . . do not innovate . . . and are not robust and sustainable. Many participants: The fallacy of productivity alone, to the cost of strategy and operational excellence. Planning “slack” time ensures buffers which can be used for teaching, problem solving and other opportunities.
  • . . . IMHO, if you are not making mistakes, one is not trying hard enough. Push the envelope. So Albanesa, are you saying to try not to be scared of that mistake when you are innovating?
    • Risk is a prerequisite to innovation.
    • I heard an ex-Google engineer say that in innovation, you need to fail often and fail fast otherwise there is no innovation.
    • The commitment is easy to get from management as long as you don’t need them to commit resources, time or money.

    We look forward to further discussions on this subject as well as others in the future.


    Kaizen Teian, Événements Kaizen, Kaikaku, Kakushin
    Comment se porte votre dictionnaire qualité en Japonais?

    Il s’avère que 76% des 27 personnes ayant répondu à notre sondage éclair ont admis ne pas avoir entendu parler du Kaikaku et que 19 % en avaient un peu entendu parler. Il va de soit que les participants à notre webinaire ont bien tendu l’oreille pour écouter Albanesa Ymaya expliquer ce qu’était cette bête et en quoi elle différait de son frère plus connu, le Kaizen. Un nouveau concept? Non. C’est juste que nous nous sommes davantage intéressés aux événements Kaizen, car ils sont plus faciles à réaliser et donnent des résultats plus rapidement.

    Pour démarrer, Albanesa a d’abord présenté les termes proposés par Masaaki Ima (considéré comme le père de l’amélioration continue) dans le cadre de son esprit d’amélioration, puis elle a décrit les relations entre le Kaizen Teian, les événements Kaizen, le Kaikaku et le Kakushin.

    Elle a ensuite expliqué les points communs entre Kaikaku et Kaizen, et a illustré leurs principales différences en utilisant l’extinction d’un incendie comme objectif – utiliser Kaikaku, c’est comme se servird’un boyau d’incendie, faire des événements Kaizen, c’est comme utiliser des gouttes d’eau. Avec les deux méthodes, vous atteindrez le même objectif d’amélioration mais, en fin de compte, l’effort et le temps nécessaires pour atteindre l’objectif et le gain final, l’impact et les avantages sont très différents, comme le montre le graphique. Pour les trois principaux blocs d’un processus, le tableau ci-dessous résume les paramètres Kaikaku et Kaizen. Généralement, les “Intrants” sont les mêmes, mais les différences apparaissent dans le “Processus global” et les “Sortants” – les efforts requis et les bénéfices obtenus.

    Intrants Processus Global Sortants
    Kaizen Kaikuku Kaizen Kaikuku Kaizen Kaikuku
    •Soutien aux dirigeants (8-10)
    •Matériel de formation
    •Fournitures de bureau
    •Informations sur les indicateurs clés de performance
    •Lean, PME (leader OpEx ou leader Kaizen formé)
    •Salle de travail selon les besoins
    •Nourriture et boissons
    •Soutien aux dirigeants (8-10)
    •Matériel de formation
    •Fournitures de bureau
    •Informations sur les indicateurs clés de performance
    •Lean, PME (leader OpEx ou leader Kaizen formé)
    •Salle de travail selon les besoins
    •Nourriture et boissons
    •Plan de pré-événement: 15-30 jours
    •Développement de l’événement: 3-5 jours (8h)
    •Achèvement du plan d’action: 30 jours, en moyenne
    •Plan de pré-événement : 30 jours
    •Développement de l’événement: 15 jours (120 heures)
    • Mise en œuvre: 60-180 jours, en moyenne
    •Problème éliminé ou amélioré
    •Engagement des employés
    •Partage des meilleures pratiques
    •Employés formés
    •Economies/réduction des coûts
    •Amélioration des performances opérationnelles
    •Processus stable
    •Amélioration de la marge
    •Amélioration du flux
    •Plusieurs projets achevés
    •Partage des meilleures pratiques
    •Amélioration de l’engagement des employés
    •Amélioration des comportements
    •Amélioration de la culture
    •Economies/réduction des coûts

    Albanesa a également partagé et clarifié pour nous la philosophie qu’elle incarne avec ses clients: d’abord planifier un projet Kaikaku, puis organiser des événements Kaizen afin de soutenir et de réaliser des opportunités d’amélioration.
    Son équation pour le succès: KAIKAKU + ÉVÉNEMENT KAIZEN + KAIZEN TEIAN + KAKUSHIN. Une femme de type Kaizen, non?
    En conséquence, les participants ont eu de nombreux échanges, résumés ci-dessous:

    • Comment mesurez-vous les résultats pour savoir si l’initiative a donné les résultats escomptés? Combien de temps analysez-vous après la mise en œuvre? AY: Les projets sont d’abord sélectionnés en fonction des données recueillies et de l’évolution des indicateurs clés de performance.
    • En quoi le Kaizen et le Kaikaku sont-ils différents du lean six sigma? Participant: Kaikaku est comme de multiples événements Kaizen ciblés qui les intègrent. La réingénierie consiste à recommencer, mais d’une manière ou d’une autre, la composante humaine n’est généralement pas prise en compte et, à long terme, elle est moins efficace.
    • Quelle est la différence entre Kaikaku et la percée?
    • Comment obtenez-vous l’engagement de l’équipe pour réaliser les transformations? AY: L’enseignement et l’implication.
    • Je crois aussi que les gens doivent trouver un but pour eux-mêmes… qu’est-ce que j’y gagne?
    • Les organisations qui n’ont pas de marge de manœuvre . . . n’innovent pas . . . et ne sont pas robustes et durables. De nombreux participants: L’erreur de la productivité seule, au détriment de la stratégie et de l’excellence opérationnelle. La planification du temps libre permet de créer des tampons qui peuvent être utilisés pour l’enseignement, la résolution de problèmes et d’autres opportunités.
    • . . . À mon avis, si vous ne faites pas d’erreurs, c’est que vous ne faites pas assez d’efforts. Poussez l’enveloppe. Albanesa, êtes-vous en train de dire que vous devez essayer de ne pas avoir peur de l’erreur lorsque vous innovez?
      • Le risque est une condition préalable à l’innovation.
      • J’ai entendu un ancien ingénieur de Google dire qu’en matière d’innovation, il faut échouer souvent et rapidement, sinon il n’y a pas d’innovation.
      • L’engagement de la direction est facile à obtenir tant que vous n’avez pas besoin qu’elle engage des ressources, du temps ou de l’argent.

    Nous nous réjouissons de poursuivre les discussions sur ce sujet ainsi que sur d’autres à l’avenir.

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